Rapport
découverte à lieu dans la vallée du Pételasoiffe, appelée par de nombreux auteur la %blue%\og\%% Vallée de l'Omo %blue%\fg\%% de
l'Europe du Nord %blue%\footnote%red%{%%Rendons à César ce qui %blue%\dots\%% c'est au professeur Raoul %blue%\bsc%red%{%%Dumortier%red%}%% que l'on doit
la première mention de cette expression.%red%}%%. Le site d'Harfouëte - - La Mare au Diable, découvert en 2009, outre son insertion dans
un contexte micro-régional riche, faisant déjà l'objet de très nombreuses recherches %blue%\footnote%red%{%%Une synthèse sous la direction
de Robert %blue%\bsc%red%{%%de Latour%red%}%% devrait paraître à la fin de l'année 2010.%red%}%%, présente un grand intérêt intrinsèque. En effet la
présence de %blue%\emph%red%{%%plusieurs foyers%red%}%% et de %blue%\emph%red%{%%reste osseux%red%}%% rendent ce site unique dans cette région.
%blue%\par%%
Le gisement d'Harfouëte - - La Mare au Diable est situé à proximité de deux sites mondialement connu. En amont, à 500%blue%\,%%m à vol
d'oiseau se trouve le site de %blue%\og%red%{}%% La roche Penchée %blue%\fg%red%{}%%, fouillé depuis les années 1887. À 1,5%blue%\,%%km en aval,
se situe le gisement moustérien de %blue%\og%red%{}%%La Castellerie Rouge%blue%\fg%red%{}%%, étudié depuis près de vingt ans par l'équipe américaine
du professeur A. L. %blue%\bsc%red%{%%Robinson%red%}%%.
Attach:introduction.png|''Fig. 9 : L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat} se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un ''retour de chariot''. Pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}''
Voici le fichier ''introduction.tex''. On a déjà vu dans les précédentes pages la signification de certaines commandes utilisées dans celle-ci.
%blue%\og%% qui écrit le guillemet ouvrant \og, ''o'' pour %orange%o%%uvrez et ''g'' pour %orange%g%%uillemet ;
[[#nombres]]
!!!%orange%3.6.4{$:michu} et les nombres%%
%blue%\section[Un titre sans note de bas de page]%red%{%%Un titre avec une note de bas de page %blue%\protect \footnote%red%{%%La note%red%}}%%
Attach:compteur.png
%orange%!!Taille des divisions%%
%orange%!!Profondeur de la numérotation%%
%rem%Un petit rappel pour te signaler que la lecture des parties dont le titre est en orange n'est pas indispensable dans un premier temps.%%
%blue%\section%red%{%%Première section%red%}%%
Attach:
Pour la deuxième sous-section on va mettre le compteur à 6. Attention pour bien comprendre ce qui se passe , il faut savoir que la commande %blue%\subsection} ''incrémente de 1} le compteur ''puis affiche} le résultat. On attribue la valeur du compteur de subsection à 6, la commande %blue%\subsection} l'incrémente 6+1=7 et affiche le résultat :
%blue%\setcounter}{subsection}{6}\\
%blue%\subsection}{Deuxième sous-sous-section}}
\resultat{\setcounter{subsection}{6}
!!!Deuxième sous-section}}
On va incrémenter de 2 pour la troisième, donc notre compteur vaut 7+2=9 et la commande %blue%\subsection} l'incrémente 9+1=10 :
%blue%\addtocounter}{subsubsection}{2}\\
%blue%\subsection}{Troisième sous-section}}
\resultat{\addtocounter{subsection}{2}
!!!Troisième sous-section}}
Enfin on va diminuer le compteur pour la dernière le compteur vaut 10-4=6 et la commande %blue%\subsection} l'incrémente 6+1=7 :
%blue%\addtocounter}{subsection}{-4}\\
%blue%\subsection}{Dernière sous-section}}
\resultat{\addtocounter{subsection}{-4}
!!!Dernière sous-section}}
\setcounter{section}{5}\setcounter{chapter}{3}
!!Où {$:michu} continue d'introduire}
En général l'introduction est un chapitre non numéroté. On vient de le voir, KOMA-Script possède une commande pour faire cela %blue%\addchap}{Le titre}. Donc notre fichier ''introduction.tex} contient
%blue%\addchap}{Introduction}\\
La découverte d'un nouveau gisement moustérien dans cette région du Balafon Occidental est toujours un événement. Surtout quand cette découverte à lieu dans la vallée du Pételasoiffe, appelée par de nombreux auteur la %blue%\og}{} Vallée de l'Omo %blue%\fg}{} de l'Europe du Nord %blue%\footnote}{Rendons à César ce qui %blue%\dots} c'est au professeur Raoul %blue%\bsc}{Dumortier} que l'on doit la première mention de cette\\ expression.}. Le site d'Harfouëte -\,- La Mare au Diable, découvert en 2009, outre son insertion dans un contexte micro-régional riche, faisant déjà l'objet de très nombreuses recherches %blue%\footnote}{Une\\ synthèse sous la direction de Robert %blue%\bsc}{de Latour} devrait\\ paraître à la fin de l'année 2010.}, présente un grand intérêt \\intrinsèque. En effet la présence de %blue%\emph}{plusieurs foyers} et de %blue%\emph}{reste osseux} rendent ce site unique dans cette région.\\
%blue%\par}\\
Le gisement d'Harfouëte -\,- La Mare au Diable est situé à proximité de deux sites mondialement connu. En amont, à 500 %blue%\,}m à vol d'oiseau se trouve le site de %blue%\og}{} La roche Penchée %blue%\fg}{}, fouillé depuis les années 1887. À 1,5 %blue%\,}km en aval, se situe le gisement moustérien de %blue%\og}{}La Castellerie Rouge %blue%\fg}{}, étudié depuis près de vingt ans par l'équipe américaine du professeur A. L. %blue%\bsc}{Robinson}.
}
\begin{figure}[p]\centering
\includegraphics[width=0.7\textwidth]{introduction.png}
\setcapwidth{\textwidth}
\caption{L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat}se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un \og retour de chariot\fg. pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}}\label{intro}
\end{figure}
Voici le fichier ''introduction.tex}. On a déjà vu dans les précédentes pages la signification de certaines commandes utilisées dans celle-ci.\\
%blue%\og} qui écrit le guillemet ouvrant \og, ''o} pour {\color{orange}o}uvrez et ''g} pour {\color{orange}g}uillemet ;\\
%blue%\fg} qui écrit le guillemet fermant \fg, ''f} pour {\color{orange}f}ermez et ''g} pour {\color{orange}g}uillemet ;\label{og}\label{fg}\\
%blue%\dots} pour écrire {$:dots} qui sont les véritables trois points typographiques, ce qui n'est pas pareil que {$:dots} trois points écrits au clavier.
\index{{$:dots}}\index{og@ %blue%\og}}\index{of@ %blue%\fg}}\index{dots@ %blue%\dots}}
Quatre nouvelles commandes sont apparues : %blue%\footnote}{}, %blue%\bsc}{}, %blue%\par}, %blue%\emph}{} et deux bizarreries -\,- et %blue%\,}.
\index{note en bas de page} \index{footnote@ %blue%\footnote}{}}
*'''monRapport.tex''' c'est le fichier maitre, qui contient le préambule et l'appel aux autres fichiers ;
*'''introduction.tex''' comme son nom l'indique, contient le texte d'introduction du document ;
*'''chapitre1.tex''' là aussi le nom est explicite. En général je ne l'intitule pas de cette manière mais avec un mot du titre, car c'est plus parlant et il se peut que ce chapitre ne reste pas toujours le premier ;
*'''{$:dots}''' la suite des fichiers par chapitre ou section ou partie de section ;
*'''conclusion.tex''' ce serait pas mal de mettre la conclusion dans ce fichier ;
*'''annexe1.tex''' une annexe, pour ce tutoriel il n'y en aura qu'une seule mais tu peux en créer plusieurs.
%blue%\documentclass%%[10pt,twoside]%red%{%%scrreprt%red%}%%
%orange%!!{$:michu} confrontée aux compteurs%%
Methode
Historique de Rapport.Methode
Cacher les modifications mineures - Affichage de la sortie
05/03/2012 23:02
par -
Ligne 65 modifiée:
Le sectionnement est différent pour les classes livre et rapport d'une part (présence de chapitre) et article d'autre part (pas de chapitre). {$:lat} attribue un numéro de niveau à ces divisions, qui est utilisé dans certaines options comme la profondeur de la numérotation (voir section \ref{profondeurNum} p.\pageref{profondeurNum}). Les divisions sont automatiquement numérotées.
en:
Le sectionnement est différent pour les classes livre et rapport d'une part (présence de chapitre) et article d'autre part (pas de chapitre). {$:lat} attribue un numéro de niveau à ces divisions, qui est utilisé dans certaines options comme la profondeur de la numérotation (voir section \ref{profondeurNum} p.\pageref{profondeurNum}). Les divisions sont automatiquement numérotées.[[#prof]]
23/10/2011 23:08
par -
Lignes 11-12 modifiées:
!3 {$:michu} veut une méthode de travail
en:
!3 - {$:michu} veut une méthode de travail
Lignes 16-17 modifiées:
!!3.1 {$:michu} divise pour mieux régner
en:
!!3.1 - {$:michu} divise pour mieux régner
Lignes 28-29 modifiées:
!!3.2 {$:michu} appelle un fichier
en:
!!3.2 - {$:michu} appelle un fichier
Ligne 58 modifiée:
!!3.3 {$:michu} introduit
en:
!!3.3 - {$:michu} introduit
Ligne 64 modifiée:
!!3.4 {$:michu} sectionne
en:
!!3.4 - {$:michu} sectionne
Ligne 67 modifiée:
|| border=1
en:
|| border=1 width=100% cellpadding=5 cellspacing=0
Lignes 96-97 modifiées:
!!!3.4.1 %orange%Taille des divisions%%
en:
!!!%orange%3.4.1 - Taille des divisions%%
Lignes 104-105 ajoutées:
----
Lignes 108-109 ajoutées:
----
Lignes 111-112 modifiées:
''Les trois formats de taille de divisions de KOMA-Script, de haut en bas '''headings=big''', '''headings=normal''', '''headings=small'''.''
en:
''Fig. 9 : Les trois formats de taille de divisions de KOMA-Script, de haut en bas '''headings=big''', '''headings=normal''', '''headings=small'''.''
Lignes 115-116 modifiées:
!!!3.4.2. Arguments optionnels des divisions
en:
!!!3.4.2 - Arguments optionnels des divisions
Lignes 141-142 modifiées:
!!!3.4.3 Formes sans numérotation
en:
!!!3.4.3 - Formes sans numérotation
Lignes 163-164 modifiées:
!!!3.4.4 %orange%Profondeur de la numérotation%%
en:
!!!%orange%3.4.4 - Profondeur de la numérotation%%
Lignes 200-201 modifiées:
!!3.5 %orange%{$:michu} confrontée aux compteurs%%
en:
!!%orange%3.5 - {$:michu} confrontée aux compteurs%%
Ligne 259 modifiée:
Quelques explications. Tout d'abord évacuons le %blue%\verb! !%%, cette commande permet d'écrire dans un texte le nom d'une commande sans que {$:lat} l'interprète.
en:
Quelques explications. Tout d'abord évacuons le %blue%\verb! !%%, cette commande permet d'écrire dans un texte le nom d'une commande sans que {$:lat} l'interprète, tu n'en auras pas besoin.
Ligne 268 modifiée:
!!3.6 Où {$:michu} continue d'introduire
en:
!!3.6 - Où {$:michu} continue d'introduire
Lignes 273-281 modifiées:
La découverte d'un nouveau gisement moustérien dans cette région du Balafon Occidental est toujours un événement. Surtout quand cette
en:
La découverte d'un nouveau gisement moustérien dans cette région du Balafon Occidental
est toujours un événement. Surtout quand cette découverte à lieu dans la vallée du
Pételasoiffe, appelée par de nombreux auteur la %blue%\og\%% Vallée de l'Omo %blue%\fg\%%
de l'Europe du Nord %blue%\footnote%red%{%%Rendons à César ce qui %blue%\dots\%% c'est
au professeur Raoul %blue%\bsc%red%{%%Dumortier%red%}%% que l'on doit la première
est toujours un événement. Surtout quand cette découverte à lieu dans la vallée du
Pételasoiffe, appelée par de nombreux auteur la %blue%\og\%% Vallée de l'Omo %blue%\fg\%%
de l'Europe du Nord %blue%\footnote%red%{%%Rendons à César ce qui %blue%\dots\%% c'est
au professeur Raoul %blue%\bsc%red%{%%Dumortier%red%}%% que l'on doit la première
Ligne 283 modifiée:
en:
mention de cette expression.%red%}%%. Le site d'Harfouëte - - La Mare au Diable,
Lignes 285-287 modifiées:
en:
découvert en 2009, outre son insertion dans un contexte micro-régional riche, faisant
déjà l'objet de très nombreuses recherches %blue%\footnote%red%{%%Une synthèse sous la
déjà l'objet de très nombreuses recherches %blue%\footnote%red%{%%Une synthèse sous la
Lignes 289-295 modifiées:
en:
direction de Robert %blue%\bsc%red%{%%de Latour%red%}%% devrait paraître à la fin de
l'année 2010.%red%}%%, présente un grand intérêt intrinsèque. En effet la présence de
%blue%\emph%red%{%%plusieurs foyers%red%}%% et de %blue%\emph%red%{%%reste osseux%red%}%%
rendent ce site unique dans cette région.
l'année 2010.%red%}%%, présente un grand intérêt intrinsèque. En effet la présence de
%blue%\emph%red%{%%plusieurs foyers%red%}%% et de %blue%\emph%red%{%%reste osseux%red%}%%
rendent ce site unique dans cette région.
Ligne 297 modifiée:
en:
%blue%\par%%
Lignes 299-318 modifiées:
en:
Le gisement d'Harfouëte - - La Mare au Diable est situé à proximité de deux sites
mondialement connu. En amont, à 500%blue%\,%%m à vol d'oiseau se trouve le site de
%blue%\og%red%{}%% La roche Penchée %blue%\fg%red%{}%%, fouillé depuis les années 1887.
À 1,5%blue%\,%%km en aval, se situe le gisement moustérien de %blue%\og%red%{}%%La
Castellerie Rouge%blue%\fg%red%{}%%, étudié depuis près de vingt ans par l'équipe
américaine du professeur A. L. %blue%\bsc%red%{%%Robinson%red%}%%.
Attach:introduction.png|''Fig. 10 : L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat} se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un ''retour de chariot''. Pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}''
Voici le fichier ''introduction.tex''. On a déjà vu dans les précédentes pages la signification de certaines commandes utilisées dans celle-ci.
%blue%\og%% qui écrit le guillemet ouvrant \og, ''o'' pour %orange%o%%uvrez et ''g'' pour %orange%g%%uillemet ;
mondialement connu. En amont, à 500%blue%\,%%m à vol d'oiseau se trouve le site de
%blue%\og%red%{}%% La roche Penchée %blue%\fg%red%{}%%, fouillé depuis les années 1887.
À 1,5%blue%\,%%km en aval, se situe le gisement moustérien de %blue%\og%red%{}%%La
Castellerie Rouge%blue%\fg%red%{}%%, étudié depuis près de vingt ans par l'équipe
américaine du professeur A. L. %blue%\bsc%red%{%%Robinson%red%}%%.
Attach:introduction.png|''Fig. 10 : L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat} se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un ''retour de chariot''. Pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}''
Voici le fichier ''introduction.tex''. On a déjà vu dans les précédentes pages la signification de certaines commandes utilisées dans celle-ci.
%blue%\og%% qui écrit le guillemet ouvrant \og, ''o'' pour %orange%o%%uvrez et ''g'' pour %orange%g%%uillemet ;
Lignes 319-339 supprimées:
%blue%\par%%
Le gisement d'Harfouëte - - La Mare au Diable est situé à proximité de deux sites mondialement connu. En amont, à 500%blue%\,%%m à vol
d'oiseau se trouve le site de %blue%\og%red%{}%% La roche Penchée %blue%\fg%red%{}%%, fouillé depuis les années 1887. À 1,5%blue%\,%%km en aval,
se situe le gisement moustérien de %blue%\og%red%{}%%La Castellerie Rouge%blue%\fg%red%{}%%, étudié depuis près de vingt ans par l'équipe américaine
du professeur A. L. %blue%\bsc%red%{%%Robinson%red%}%%.
Attach:introduction.png|''Fig. 9 : L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat} se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un ''retour de chariot''. Pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}''
Voici le fichier ''introduction.tex''. On a déjà vu dans les précédentes pages la signification de certaines commandes utilisées dans celle-ci.
%blue%\og%% qui écrit le guillemet ouvrant \og, ''o'' pour %orange%o%%uvrez et ''g'' pour %orange%g%%uillemet ;
Lignes 327-328 modifiées:
!!!3.6.1 Première difficulté pour {$:michu} : les notes en bas de page
en:
!!!3.6.1 - Première difficulté pour {$:michu} : les notes en bas de page
Lignes 332-334 modifiées:
!!!3.6.2 La bizarrerie --
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia : %newin%[[http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret]]%%).
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia :
en:
!!!3.6.2 - La bizarrerie --
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia :
%newin%[[http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret]]%%.
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia :
%newin%[[http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret]]%%.
Lignes 344-345 modifiées:
!!!3.6.3 La bizarrerie %blue%\,%%
en:
!!!3.6.3 - La bizarrerie %blue%\,%%
Lignes 354-356 modifiées:
!!!%orange%3.6.4{$:michu} et les nombres%%
en:
[[#nombres]]
!!!%orange%3.6.4 - {$:michu} et les nombres%%
!!!%orange%3.6.4 - {$:michu} et les nombres%%
Ligne 360 modifiée:
|| border=0
en:
|| border=0 cellpadding=5
Lignes 372-373 modifiées:
Si tu veux utiliser le raccourci %blue%\np%red%{}%% au lieu de %blue%\numprint%red%{}%%, il te faut charger le package de cette façon : %blue%\usepackage%%[np]%redù{%%numprint%red%}%%
en:
Si tu veux utiliser le raccourci %blue%\np%red%{}%% au lieu de %blue%\numprint%red%{}%%, il te faut charger le package de cette façon : %blue%\usepackage%%[np]%red%{%%numprint%red%}%%
Lignes 375-376 modifiées:
!!!3.6.5 {$:michu} capitalise petit
en:
!!!3.6.5 - {$:michu} capitalise petit
Lignes 379-380 modifiées:
%alert%La commande %blue%\bsc%red%{}%% est une commande de l'option ''french'' du package ''babel''. La commande {$:lat}est %blue%\textsc%red%{}%%. La différence entre les deux est que %blue%\bsc%% empêche la coupure du mot en fin de ligne, conformément aux règles typographiques françaises gérant les noms propres.%%
en:
%alert%La commande %blue%\bsc%red%{}%% est une commande de l'option ''french'' du package ''babel''. La commande {$:lat} est %blue%\textsc%red%{}%%. La différence entre les deux est que %blue%\bsc%% empêche la coupure du mot en fin de ligne, conformément aux règles typographiques françaises gérant les noms propres.%%
Ligne 382 modifiée:
!!!3.6.6 {$:michu} emphatique
en:
!!!3.6.6 - {$:michu} emphatique
Lignes 385-387 modifiées:
Comme le faisait remarquer Bébert dans son %blue%\emph%red%{%%excellente étude%red%}%% sur la bière %blue%\og\%% %blue%\textit%red%{%%Une bière
%blue%\emph%red%{%%sans houblon%red%}%%, ne vaut pas la peine d'être bue%red%}%% %blue%\fg.
en:
Comme le faisait remarquer Bébert dans son %blue%\emph%red%{%%excellente étude%red%}%% sur la bière
%blue%\og\%% %blue%\textit%red%{%%Une bière %blue%\emph%red%{%%sans houblon%red%}%%, ne vaut pas
la peine d'être bue%red%}%% %blue%\fg.
%blue%\og\%% %blue%\textit%red%{%%Une bière %blue%\emph%red%{%%sans houblon%red%}%%, ne vaut pas
la peine d'être bue%red%}%% %blue%\fg.
Ligne 395 modifiée:
en:
|| border=0 cellpadding=5
Ligne 409 modifiée:
!!!3.6.7 {$:michu} change de paragraphe
en:
!!!3.6.7 - {$:michu} change de paragraphe
Lignes 415-423 modifiées:
!!3.7 {$:michu} dans l'espace
{$:lat}compose le texte en suivant des règles typographiques précises dépendantes de la langue utilisée. Concernant les espaces voici quelques unes de ces règles :\par
Les mots sont séparés par une espace et une seule. Donc tu peux toujours ajouter autant d'espace, de tabulation entre les mots, {$:lat}les ignore et n'en mettra qu'une seule. Pour illustrer le propos un extrait de\og Les misérables\fg de Victor \bsc{Hugo}.\par
L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, \hspace{5em} de Papelotte, \hspace{10em}de Plancenoit. Le cri trahison ! fut suivi du cri \hspace{5em}sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel. Tout fléchit, se fêle, \hspace{15em}craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, \hspace{15em} se précipite.}
\noindent donne après compilation
\resultat{\hspace{1em}L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit. Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'estun dégel. Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite.}
En typographie française, les paragraphes\index{paragraphe}\index{paragraphe!changer de} sont uniquement marqué par un passage à la ligne avec une indentation (un retrait) de la première ligne. Il n'y a \emph{pas} de ligne blanche entre deux paragraphes.
Avec {$:lat}il y a deux manières de changer de paragraphe, ajouter une ligne blanche dans le source ou ajouter la commande %blue%\par}\index{par@ %blue%\par}}.
{$:lat}compose le texte en suivant des règles typographiques précises dépendantes de la langue utilisée. Concernant les espaces voici quelques unes de ces règles :
Les mots sont séparés par une espace et une seule. Donc tu peux toujours ajouter autant d'espace, de tabulation entre les mots, {$:lat}les ignore et n'en mettra qu'une seule. Pour illustrer le propos un extrait de
\noindent donne après compilation
\resultat{\hspace{1em}L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit. Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est
En typographie française, les paragraphes\index{paragraphe}\index{paragraphe!changer
Avec {$:lat}il y a deux manières de changer de paragraphe, ajouter une ligne blanche dans le source ou ajouter la commande %blue%\par}\index{par@ %blue%\par}}
en:
!!3.7 - {$:michu} dans l'espace
{$:lat} compose le texte en suivant des règles typographiques précises dépendantes de la langue utilisée. Concernant les espaces voici quelques unes de ces règles :
Les mots sont séparés par une espace et une seule. Donc tu peux toujours ajouter autant d'espace, de tabulation entre les mots, {$:lat} les ignore et n'en mettra qu'une seule. Pour illustrer le propos un extrait de ''Les misérables'' de Victor %sc%Hugo%%.
L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la
Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit. Le cri
trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande,
c'est un dégel. Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se
heurte, se hâte, se précipite.
donne après compilation
Attach:
En typographie française, les paragraphes sont uniquement marqué par un passage à la ligne avec une indentation (un retrait) de la première ligne. Il n'y a ''pas'' de ligne blanche entre deux paragraphes.
Avec {$:lat} il y a deux manières de changer de paragraphe, ajouter une ligne blanche dans le source ou ajouter la commande %blue%\par}%%.
{$:lat} compose le texte en suivant des règles typographiques précises dépendantes de la langue utilisée. Concernant les espaces voici quelques unes de ces règles :
Les mots sont séparés par une espace et une seule. Donc tu peux toujours ajouter autant d'espace, de tabulation entre les mots, {$:lat} les ignore et n'en mettra qu'une seule. Pour illustrer le propos un extrait de ''Les misérables'' de Victor %sc%Hugo%%.
L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la
Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit. Le cri
trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande,
c'est un dégel. Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se
heurte, se hâte, se précipite.
donne après compilation
Attach:
En typographie française, les paragraphes sont uniquement marqué par un passage à la ligne avec une indentation (un retrait) de la première ligne. Il n'y a ''pas'' de ligne blanche entre deux paragraphes.
Avec {$:lat} il y a deux manières de changer de paragraphe, ajouter une ligne blanche dans le source ou ajouter la commande %blue%\par}%%.
11/10/2011 23:16
par -
Lignes 52-53 modifiées:
Attach:maitre.png|''Fig. Vue du fichier maître dans la fenêtre TeXworks. Remarque les effets de la coloration syntaxique.''
en:
Attach:maitre.png|''Fig. 8 : Vue du fichier maître dans la fenêtre TeXworks. Remarque les effets de la coloration syntaxique.''
Lignes 80-86 modifiées:
%blue%\chapter}{Un chapitre}\\
%blue%\section}{Une section}\\
%blue%\subsection}{Une sous section}\\
%blue%\subsubsection}{Une sous sous section}\\
%blue%\paragraph}{Un paragraphe}\\
%blue%\subparagraph}{Un sous paragraphe}}
en:
%blue%\chapter%red%{%%Un chapitre%red%}%%
%blue%\section%red%{%%Une section%red%}%%
%blue%\subsection%red%{%%Une sous section%red%}%%
%blue%\subsubsection%red%{%%Une sous sous section%red%}%%
%blue%\paragraph%red%{%%Un paragraphe%red%}%%
%blue%\subparagraph%red%{%%Un sous paragraphe%red%}%%
%blue%\section%red%{%%Une section%red%}%%
%blue%\subsection%red%{%%Une sous section%red%}%%
%blue%\subsubsection%red%{%%Une sous sous section%red%}%%
%blue%\paragraph%red%{%%Un paragraphe%red%}%%
%blue%\subparagraph%red%{%%Un sous paragraphe%red%}%%
Ligne 93 ajoutée:
Ligne 95 ajoutée:
Ligne 105 ajoutée:
Lignes 107-108 modifiées:
''Les trois formats de taille de divisions de KOMA-Script, de gauche à droite '''headings=big''', '''headings=normal''', '''headings=small'''.''
en:
''Les trois formats de taille de divisions de KOMA-Script, de haut en bas '''headings=big''', '''headings=normal''', '''headings=small'''.''
Lignes 129-130 modifiées:
%blue%\section[Un titre sans note de bas de page]%red%{%%Un titre avec une note de bas de page %blue%\footnote%red%{%%La note%red%}}%%
en:
%blue%\section%%[Un titre sans note de bas de page]%red%{%%Un titre avec une note de bas de page %blue%\footnote%red%{%%La note%red%}}%%
Lignes 133-135 modifiées:
en:
%blue%\section%%[Un titre sans note de bas de page]%red%{%%Un titre avec une note de bas de page %blue%\protect \footnote%red%{%%La note%red%}}%%
Lignes 207-208 modifiées:
Pour te montrer ce qui se passe on va jouer avec le compteur de sous-section. Le compteur des divisions de texte à le même nom que la division donc notre compteur s'appelle ''subsection''. Tu peux afficher dans ton texte lea valeur de tes compteurs par la commande %blue%\thecompteur%%. Donc pour les section %blue%\thesection, pour les sous-section %blue%\thesubsection%% et de même %blue%\thechapter%% {$:dots}.
en:
Pour te montrer ce qui se passe on va jouer avec le compteur de sous-section. Le compteur des divisions de texte à le même nom que la division donc notre compteur s'appelle ''subsection''. Tu peux afficher dans ton texte les valeurs de tes compteurs par la commande %blue%\thecompteur%%. Donc pour les section %blue%\thesection%%, pour les sous-section %blue%\thesubsection%% et de même %blue%\thechapter%% {$:dots}.
Lignes 252-253 modifiées:
en:
Attach:compteur.png
Lignes 256-257 modifiées:
Pour la deuxième sous-section on a mis le compteur à 6. Attention pour bien comprendre ce qui se passe , il faut savoir que la commande %blue%\subsection%% ''incrémente de 1'' le compteur ''puis affiche'' le résultat. On attribue la valeur du compteur de subsection à 6, la commande %blue%\subsection%% l'incrémente 6+1=7 et affiche le résultat.
en:
Pour la deuxième sous-section on a mis le compteur à 6. Attention pour bien comprendre ce qui se passe , il faut savoir que la commande %blue%\subsection%% '' (comme toutes les commandes de sectionnement) incrémente de 1'' le compteur ''puis affiche'' le résultat. On attribue la valeur du compteur de subsection à 6, la commande %blue%\subsection%% l'incrémente 6+1=7 et affiche le résultat.
Ligne 280 modifiée:
présence de %blue%\emph%red%{%%plusieurs foyers%red%}%% et de %blue%\emph%red%{%%reste osseux%red%}%ù rendent ce site unique dans cette région.
en:
présence de %blue%\emph%red%{%%plusieurs foyers%red%}%% et de %blue%\emph%red%{%%reste osseux%red%}%% rendent ce site unique dans cette région.
Lignes 294-296 modifiées:
Attach:introduction.png|Fig. 8 : L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat} se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un ''retour de chariot''. Pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}
en:
Attach:introduction.png|''Fig. 9 : L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat} se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un ''retour de chariot''. Pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}''
Lignes 301-304 modifiées:
%blue%\fg%% qui écrit le guillemet fermant \fg, ''f} pour {\color{orange}f}ermez et ''g} pour {\color{orange}g}uillemet ;\label{og}\label{fg}
%blue%\dots} pour écrire {$:dots} qui sont les véritables trois points typographiques, ce qui n'est pas pareil que {$:dots} trois points écrits au clavier.
%blue%\dots} pour écrire {$:dots} qui sont les véritables trois points typographiques, ce qui n'est pas pareil que {$:dots}
en:
%blue%\fg%% qui écrit le guillemet fermant \fg, ''f'' pour %orange%f%%ermez et ''g'' pour %orange%g%%uillemet ;
%blue%\dots%% pour écrire {$:dots} qui sont les véritables trois points typographiques, ce qui n'est pas pareil que ... trois points écrits au clavier.
%blue%\dots%% pour écrire {$:dots} qui sont les véritables trois points typographiques, ce qui n'est pas pareil que ... trois points écrits au clavier.
Lignes 314-315 modifiées:
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia : [[http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret]]). Le trait court qui sert dans les césures, comme trait d'union ou pour séparer les intervalles (2000 - 2010 par exemple) et qui s'écrit ''' - ''' (le signe moins de ton clavier numérique). Le tiret moyen (demi-cadratin) – qui sert pour les énumérations, c'est également le signe moins des soustractions (5 – 3 = 2) et qui s'écrit -- (deux signes moins de ton clavier numérique accolés). Enfin le tiret long (cadratin) — utilisé pour introduire les dialogues, ou pour remplacer les parenthèses qui s'écrit --- trois signes moins de ton clavier numérique accolés.
en:
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia : %newin%[[http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret]]%%).
Le trait court qui sert dans les césures, comme trait d'union ou pour séparer les intervalles (2000 - 2010 par exemple) et qui s'écrit ''' - ''' (le signe moins de ton clavier numérique).
Le tiret moyen (demi-cadratin) – qui sert pour les énumérations, c'est également le signe moins des soustractions (5 – 3 = 2) et qui s'écrit -- (deux signes moins de ton clavier numérique accolés).
Enfin le tiret long (cadratin) — utilisé pour introduire les dialogues, ou pour remplacer les parenthèses qui s'écrit --- trois signes moins de ton clavier numérique accolés.
Le trait court qui sert dans les césures, comme trait d'union ou pour séparer les intervalles (2000 - 2010 par exemple) et qui s'écrit ''' - ''' (le signe moins de ton clavier numérique).
Le tiret moyen (demi-cadratin) – qui sert pour les énumérations, c'est également le signe moins des soustractions (5 – 3 = 2) et qui s'écrit -- (deux signes moins de ton clavier numérique accolés).
Enfin le tiret long (cadratin) — utilisé pour introduire les dialogues, ou pour remplacer les parenthèses qui s'écrit --- trois signes moins de ton clavier numérique accolés.
Lignes 328-331 modifiées:
%blue%\np[m]%red%{%%500%red%}%% et %blue%\np[km]%red%{%%1,5%}%%, de cette façon je suis sûr que les normes typographiques françaises seront respectées.
en:
%blue%\np[m]%red%{%%500%red%}%% et %blue%\np[km]%red%{%%1,5%}%%
de cette façon je suis sûr que les normes typographiques françaises seront respectées.
de cette façon je suis sûr que les normes typographiques françaises seront respectées.
11/10/2011 22:49
par -
Lignes 11-12 modifiées:
!{$:michu} veut une méthode de travail
en:
!3 {$:michu} veut une méthode de travail
Lignes 16-17 modifiées:
!!{$:michu} divise pour mieux régner
en:
!!3.1 {$:michu} divise pour mieux régner
Lignes 28-29 modifiées:
!!{$:michu} appelle un fichier
en:
!!3.2 {$:michu} appelle un fichier
Lignes 52-53 modifiées:
Attach:maitre.png|Vue du fichier maître dans la fenêtre TeXworks. Remarque les effets de la coloration syntaxique.
en:
Attach:maitre.png|''Fig. Vue du fichier maître dans la fenêtre TeXworks. Remarque les effets de la coloration syntaxique.''
Ligne 58 modifiée:
!!{$:michu} introduit
en:
!!3.3 {$:michu} introduit
Ligne 64 modifiée:
!!{$:michu} sectionne
en:
!!3.4 {$:michu} sectionne
Lignes 89-90 modifiées:
!!%orange%Taille des divisions%%
en:
!!!3.4.1 %orange%Taille des divisions%%
Lignes 102-103 modifiées:
!!!Arguments optionnels des divisions
en:
!!!3.4.2. Arguments optionnels des divisions
Lignes 129-130 modifiées:
!!!Formes sans numérotation
en:
!!!3.4.3 Formes sans numérotation
Lignes 151-152 modifiées:
!!%orange%Profondeur de la numérotation%%
en:
!!!3.4.4 %orange%Profondeur de la numérotation%%
Lignes 188-189 modifiées:
!!%orange%{$:michu} confrontée aux compteurs%%
en:
!!3.5 %orange%{$:michu} confrontée aux compteurs%%
Ligne 254 ajoutée:
Ligne 256 modifiée:
!!Où {$:michu} continue d'introduire
en:
!!3.6 Où {$:michu} continue d'introduire
Lignes 301-302 modifiées:
!!!Première difficulté pour {$:michu} : les notes en bas de page
en:
!!!3.6.1 Première difficulté pour {$:michu} : les notes en bas de page
Ligne 306 modifiée:
!!!La bizarrerie --
en:
!!!3.6.2 La bizarrerie --
Lignes 310-311 modifiées:
!!!La bizarrerie %blue%\,%%
en:
!!!3.6.3 La bizarrerie %blue%\,%%
Lignes 318-319 modifiées:
!!%orange%{$:michu} et les nombres%%
en:
!!!%orange%3.6.4{$:michu} et les nombres%%
Lignes 338-339 modifiées:
!!!{$:michu} capitalise petit
en:
!!!3.6.5 {$:michu} capitalise petit
Ligne 345 modifiée:
!!!{$:michu} emphatique
en:
!!!3.6.6 {$:michu} emphatique
Ligne 369 modifiée:
!!!{$:michu} change de paragraphe
en:
!!!3.6.7 {$:michu} change de paragraphe
Ligne 375 modifiée:
!!{$:michu} dans l'espace
en:
!!3.7 {$:michu} dans l'espace
05/10/2011 17:24
par -
Ligne 27 modifiée:
[[#fichier]]
en:
[[#appelle]]
Lignes 78-79 modifiées:
''Différentes divisions en fonction du type de document.''
en:
''Tab. 1 : Différentes divisions en fonction du type de document.''
Ligne 88 modifiée:
en:
[[#taillediv]]
Ligne 101 modifiée:
en:
[[#optiondiv]]
Ligne 128 ajoutée:
[[#sansnum]]
Ligne 150 ajoutée:
[[#profnum]]
Ligne 187 modifiée:
en:
[[#compteurs]]
Lignes 251-254 modifiées:
On a incrémenté de 2 pour la troisième, donc notre compteur vaut 7+2=9 et la commande %blue%\subsectionµµ l'incrémente 9+1=10.
Enfin on a diminué de 4 le compteur pour la dernière, le compteur vaut 10-4=6 et la commande %blue%\subsection} l'incrémente 6+1=7.
Enfin on a diminué de 4 le compteur pour la dernière, le compteur vaut 10-4=6 et la commande %blue%\subsection
en:
On a incrémenté de 2 pour la troisième, donc notre compteur vaut 7+2=9 et la commande %blue%\subsection%% l'incrémente 9+1=10.
Enfin on a diminué de 4 le compteur pour la dernière, le compteur vaut 10-4=6 et la commande %blue%\subsection%% l'incrémente 6+1=7.
[[#introsuite]]
Enfin on a diminué de 4 le compteur pour la dernière, le compteur vaut 10-4=6 et la commande %blue%\subsection%% l'incrémente 6+1=7.
[[#introsuite]]
Lignes 256-257 modifiées:
En général l'introduction est un chapitre non numéroté. On vient de le voir, KOMA-Script possède une commande pour faire cela %blue%\addchap}{Le titre}. Donc notre fichier ''introduction.tex'' contient
en:
En général l'introduction est un chapitre non numéroté. On vient de le voir, KOMA-Script possède une commande pour faire cela %blue%\addchap%red%{%%Le titre%red%}%%. Donc notre fichier ''introduction.tex'' contient
Ligne 264 modifiée:
l'Europe du Nord %blue%\footnote%red%{%%Rendons à César ce qui %blue%\dots%red%}%% c'est au professeur Raoul %blue%\bsc%red%{%%Dumortier%red%}%% que l'on doit
en:
l'Europe du Nord %blue%\footnote%red%{%%Rendons à César ce qui %blue%\dots\%% c'est au professeur Raoul %blue%\bsc%red%{%%Dumortier%red%}%% que l'on doit
Ligne 272 modifiée:
présence de %blue%\emph}{plusieurs foyers} et de %blue%\emph}{reste osseux} rendent ce site unique dans cette région.
en:
présence de %blue%\emph%red%{%%plusieurs foyers%red%}%% et de %blue%\emph%red%{%%reste osseux%red%}%ù rendent ce site unique dans cette région.
Ligne 276 modifiée:
Le gisement d'Harfouëte - - La Mare au Diable est situé à proximité de deux sites mondialement connu. En amont, à 500 %blue%\,%%m à vol
en:
Le gisement d'Harfouëte - - La Mare au Diable est situé à proximité de deux sites mondialement connu. En amont, à 500%blue%\,%%m à vol
Ligne 278 modifiée:
d'oiseau se trouve le site de %blue%\og%red%{}%% La roche Penchée %blue%\fg%red%{}%%, fouillé depuis les années 1887. À 1,5 %blue%\,%%km en aval,
en:
d'oiseau se trouve le site de %blue%\og%red%{}%% La roche Penchée %blue%\fg%red%{}%%, fouillé depuis les années 1887. À 1,5%blue%\,%%km en aval,
Ligne 280 modifiée:
se situe le gisement moustérien de %blue%\og%red%{}%%La Castellerie Rouge %blue%\fg%red%{}%%, étudié depuis près de vingt ans par l'équipe américaine
en:
se situe le gisement moustérien de %blue%\og%red%{}%%La Castellerie Rouge%blue%\fg%red%{}%%, étudié depuis près de vingt ans par l'équipe américaine
Lignes 286-288 modifiées:
Attach:introduction.png|L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat} se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un ''retour de chariot''. Pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}
en:
Attach:introduction.png|Fig. 8 : L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat} se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un ''retour de chariot''. Pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}
Ligne 299 ajoutée:
[[#nbdp]]
Lignes 302-369 modifiées:
Avec {$:lat}ce n'est pas une difficulté. Il te suffit juste d'employer la commande %blue%\footnote}{Ici le texte de ta note de bas de page} que tu pla\-ces dans le texte à l'endroit ou te veux voir apparaître l'appelle de la note. {$:lat}s'occupera de l'attribution du numéro et de son placement.
!!!La bizarrerie - -
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia : [[http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret]]). Le trait court qui sert dans les césures, comme trait d'union ou pour séparer les intervalles (2000 - 2010 par exemple) et qui s'écrit ''' - ''' (le signe moins de ton clavier numérique). Le tiret moyen (demi-cadratin) qui sert pour les énumérations, c'est également le signe moins des soustractions (5-- 3 = 2) et qui s'écrit - - (deux signes moins de ton clavier numérique accolés). Enfin le tiret long (cadratin) utilisé pour introduire les dialogues, ou pour remplacer les parenthèses qui s'écrit \mbox{\og \verb!----!\fg} --- trois signes moins de ton clavier numérique accolés ---.
!!!La bizarrerie %blue%\,}}\index{espace!fine insécable} \index{espace!fine}
\index{,@ %blue%\,}}
Je ne sais pas si tu auras besoin de manipuler beaucoup de chiffres et d'unités dans ton document, mais moi dans mes rapports archéologiques, j'en consomme énormément. Pour cela comme pour le reste il existe des règles typographiques. En français les décimales sont délimitées par une virgule (c'est un point en anglais). Les milliers sont séparés par une espace fine insécable (une virgule en anglais, décidément ces anglais ne font rien comme tout le monde!). Les chiffres sont séparés des unités également par une espace fine insécable. L'espace fine est deux fois plus petite que l'espace de la \touche{barre d'espace} de ton clavier. Insécable signifie qu'elle ne peut être coupée en fin de ligne. Le nombre et les unités ne peuvent pas être sur deux lignes différentes. La commande %blue%\,} permet de créer une espace fine insécable.
\par
Dans la pratique je ne procède pas de cette façon pour écrire mes unités. J'utilise le package ''numprint} qui gère l'écriture des nombres. Les deux mesures de mon introduction peuvent s'écrire avec ''numprint} :
%blue%\np}{m}{500} et %blue%\np}{km}{1,5}, de cette façon je suis sûr que les normes typographiques françaises seront respectées.
\subPenchee{{$:michu} et les nombres}\label{babelNombre}
\index{nombre (écriture des)} \index{numprint@ %blue%\numprint}{}}
\index{unité (écriture des)}
Si tu dois écrire beaucoup denombres, il est préférable d'utiliser le package %blue%numprint} ( %blue%\usepackage}{numprint}) qui associé à %blue%french} produira la bonne typographie.\\
\begin{tabular}{lcl}
\textbf{code} &&\textbf{résultat}\\
123456789&=&123456789\\
%blue%\numprint}{123456789}&=&\numprint{123456789}\\
%blue%\numprint}{3,14159265358979323846}&=&\numprint{3,14159265358979323846}\\
%blue%\numprint}{12.34}&=&\numprint{12.34}\\
\end{tabular}
\par
En plus tu peux préciser les unités de cette façon :\\%blue%\numprint}{kg}{12,34} = \numprint[kg]{12,34}.
\par
Si tu veux utiliser le raccourci%blue%\np}{} au lieu de %blue%\numprint}{}, il te faut charger le package de cette façon : %blue%\usepackage}{np}{numprint}
!!!{$:michu} capitalise petit}\label{bsc}\index{petites capitales}
\index{fonte!petites capitales} \index{bsc@%blue%\bsc}{}} \index{textesc@ %blue%\textesc}{}}
Une des règles en typographie française veut que le nom de famille soit écrit en\bsc{petites capitales}. C'est le rôle de la commande %blue%\bsc}{Le Nom}.
\alert{La commande %blue%\bsc}{} est une commande de l'option ''french} du package ''babel}. La commande {$:lat}est%blue%\textsc}{}. La différence entre les deux est que %blue%\bsc} empêche la coupure du mot en fin de ligne, conformément aux règles typographiques françaises gérant les noms propres.}
!!!{$:michu} emphatique}\index{emphase} \index{emph@%blue%\emph}{}}
La commande %blue%\emph}{} permet de mettre une portionde texte en emphase. En typographie française mettre en relief un mot ou un groupe de mot se fait en utilisant l'italique dans un texte droit (police romaine) et en romain dans un texte en italique. C'est ce que fait %blue%\emph}{} :
Comme le faisait remarquer Bébert dans son %blue%\emph}{excellente étude} sur la bière%blue%\og} %blue%\textit}{Une bière %blue%\emph}{sans houblon}, ne vaut pas la peine d'être bue} %blue%\fg}}
\resultat{Comme le faisait remarquer Bébert dans son \emph{excellente étude} sur la bière \og \textit{Une bière \emph{sans houblon}, ne vaut pas la peine d'être bue}\fg}
Si tu veux insister lourdement tu peux mettre la portion de texte en gras avec la commande %blue%\textbf}{}.
Puisque que l'on est dans les changement de fonte voici un tableaux récapitulatif des commandes de changement de fonte:\par\bigskip\index{fonte!changer de}
\noindent
\begin{tabular}{|l|l|l|l|}\hline
Commande&Déclartion&Résultat&auto-complétion\\\hline
%blue%\textrm}{{$:dots}}&\vop %blue%\rmfamily} {$:dots}\vfp&\textrm{texte en roman}& \comp{rm}\\
%blue%\textsf}{{$:dots}}&\vop %blue%\sffamily} {$:dots}\vfp&\textsf{texte sans serif}& \comp{sf}\\
%blue%\texttt}{{$:dots}}&\vop %blue%\ttfamily} {$:dots}\vfp&\texttt{machine à écrire}& \comp{tt}\\\hline
%blue%\textup}{{$:dots}}&\vop %blue%\upshape} {$:dots}\vfp&\textup{écriture droite (défaut)}& \comp{up}\\
%blue%\textit}{{$:dots}}&\vop %blue%\itshape} {$:dots}\vfp&\textit{texte en italique}& \comp{it}\\
%blue%\textsl}{{$:dots}}&\vop %blue%\slshape} {$:dots}\vfp&\textsl{écriture penchée}& \comp{sl}\\
%blue%\textsc}{{$:dots}}&\vop %blue%\scshape} {$:dots}\vfp&\textsc{Petites Capitales}& \comp{sc}\\\hline
%blue%\textmd}{{$:dots}}&\vop %blue%\mdseries} {$:dots}\vfp&\textmd{médium (défaut)}& \comp{md}\\
%blue%\textbf}{{$:dots}}&\vop %blue%\bfseries} {$:dots}\vfp&\textbf{texte en gras}& \comp{bf}\\\hline
\end{tabular}
\index{petites capitales}\index{italique}\index{gras}\index{penchée (écriture)}
\index{roman} \index{sans serif}\index{machine à écrire}
\index{fonte!italique}\index{fonte!gras}\index{fonte!penchée}
\index{fonte!roman} \index{fonte!sans serif} \index{fonte!machine à écrire}
\index{fonte!médium}
\index{fonte!petites capitales} \index{bsc@ %blue%\bsc}{}}
\index{textesc@%blue%\textesc}{}}
!!!{$:michu} change de paragraphe}
%blue%\par} permet de changer de paragraphe.\index{paragraphe!changer de}
\index{par@ %blue%\par}}
Avec %blue%\par}, il est temps d'aborder la gestion des espaces et des paragraphes sous \{$:lat}.
!!{$:michu} dans l'espace}\index{espace}\label{espace}
!!!La bizarrerie -
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia : [[http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret]]). Le trait court qui sert dans les césures, comme trait d'union ou pour séparer les intervalles (2000 - 2010 par exemple) et qui s'écrit ''' - ''' (le signe moins de ton clavier numérique). Le tiret moyen (demi-cadratin) qui sert pour les énumérations, c'est également le signe moins des soustractions (5
!!!La bizarrerie %blue%\,
\index{,@ %blue%\,}}
Je ne sais pas si tu auras besoin
Dans la pratique je ne procède pas de cette façon pour écrire mes unités. J'utilise le package ''numprint
%blue%\np
\index{unité (écriture des)}
Si tu dois écrire beaucoup de
\begin{tabular}{lcl}
\textbf{code} &&\textbf{résultat}\\
123456789&
%blue%\numprint}{123456789}&=&\numprint{123456789}\\
%blue%\numprint}{3,14159265358979323846}&=&\numprint{3,14159265358979323846}\\
\end{tabular}
\par
En plus tu peux préciser les unités de cette façon :\\
Si tu veux utiliser le raccourci
!!!
\index{fonte!petites capitales} \index{bsc@
Une des règles en typographie française veut que le nom de famille soit écrit en
\alert{La commande %blue%\bsc}{} est une commande de l'option ''french} du package ''babel}. La commande {$:lat}est
!!!{$:michu} emphatique}\index{emphase} \index{emph@
La commande %blue%\emph}{} permet de mettre une portion
Comme le faisait remarquer Bébert dans son %blue%\emph}{excellente étude} sur la bière
\resultat
Si tu veux insister lourdement tu peux mettre la portion de texte en gras avec la commande %blue%\textbf}{}.
Puisque que l'on est dans les changement de fonte voici un tableaux récapitulatif des commandes de changement de fonte
\noindent
\begin{tabular}{
Commande&Déclartion&
\end{tabular
\index{roman} \index{sans serif}
\index{fonte!italique
\index{fonte
\index{fonte
\index{textesc@
!!!{$:michu} change de paragraphe}
%blue%\par} permet de changer de paragraphe.\index{paragraphe!changer de}
\index{par@ %blue%
!!{$:michu} dans l'espace}\index{espace}\label{espace}
en:
Avec {$:lat} ce n'est pas une difficulté. Il te suffit juste d'employer la commande %blue%\footnote%red%{%%Ici le texte de ta note de bas de page%red%}%% que tu places dans le texte à l'endroit ou te veux voir apparaître l'appelle de la note. {$:lat} s'occupera de l'attribution du numéro et de son placement.
[[#bizarre]]
!!!La bizarrerie --
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia : [[http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret]]). Le trait court qui sert dans les césures, comme trait d'union ou pour séparer les intervalles (2000 - 2010 par exemple) et qui s'écrit ''' - ''' (le signe moins de ton clavier numérique). Le tiret moyen (demi-cadratin) – qui sert pour les énumérations, c'est également le signe moins des soustractions (5 – 3 = 2) et qui s'écrit -- (deux signes moins de ton clavier numérique accolés). Enfin le tiret long (cadratin) — utilisé pour introduire les dialogues, ou pour remplacer les parenthèses qui s'écrit --- trois signes moins de ton clavier numérique accolés.
[[#bizarrerie]]
!!!La bizarrerie %blue%\,%%
Je ne sais pas si tu auras besoin de manipuler beaucoup de chiffres et d'unités dans ton document, mais moi dans mes rapports archéologiques, j'en consomme énormément. Pour cela comme pour le reste il existe des règles typographiques. En français les décimales sont délimitées par une virgule (c'est un point en anglais). Les milliers sont séparés par une espace fine insécable (une virgule en anglais, décidément ces anglais ne font rien comme tout le monde!). Les chiffres sont séparés des unités également par une espace fine insécable. L'espace fine est deux fois plus petite que l'espace de la '''barre d'espace''' de ton clavier. Insécable signifie qu'elle ne peut être coupée en fin de ligne. Le nombre et les unités ne peuvent pas être sur deux lignes différentes. La commande %blue%\,%% permet de créer une espace fine insécable.
Dans la pratique je ne procède pas de cette façon pour écrire mes unités. J'utilise le package ''numprint'' qui gère l'écriture des nombres. Les deux mesures de mon introduction peuvent s'écrire avec ''numprint'' :
%blue%\np[m]%red%{%%500%red%}%% et %blue%\np[km]%red%{%%1,5%}%%, de cette façon je suis sûr que les normes typographiques françaises seront respectées.
[[#nombres]]
!!%orange%{$:michu} et les nombres%%
Si tu dois écrire beaucoup de nombres, il est préférable d'utiliser le package ''numprint'' ( %blue%\usepackage%red%{%%numprint%red%}%%) qui associé à ''french'' produira la bonne typographie.
|| border=0
|| '''code''' |||| '''résultat''' ||
||123456789||=||123456789||
||%blue%\numprint%red%{%%123456789%red%}%%||=||123 456 789||
||%blue%\numprint%red%{%%3,14159265358979323846%red%}%%||=||3,141 592 653 589 793 238 46||
||%blue%\numprint%red%{%%12.34%red%}%%||=||12,34||
En plus tu peux préciser les unités de cette façon :
%blue%\numprint%%[kg]%red%{%%12,34%red%}%% = 12,34 kg
Si tu veux utiliser le raccourci %blue%\np%red%{}%% au lieu de %blue%\numprint%red%{}%%, il te faut charger le package de cette façon : %blue%\usepackage%%[np]%redù{%%numprint%red%}%%
[[#capitalise]]
!!!{$:michu} capitalise petit
Une des règles en typographie française veut que le nom de famille soit écrit en petites capitales. C'est le rôle de la commande %blue%\bsc%red%{%%Le Nom%red%}%%.
%alert%La commande %blue%\bsc%red%{}%% est une commande de l'option ''french'' du package ''babel''. La commande {$:lat}est %blue%\textsc%red%{}%%. La différence entre les deux est que %blue%\bsc%% empêche la coupure du mot en fin de ligne, conformément aux règles typographiques françaises gérant les noms propres.%%
[[#emphatique]]
!!!{$:michu} emphatique
La commande %blue%\emph%red%{}%% permet de mettre une portion de texte en emphase. En typographie française mettre en relief un mot ou un groupe de mot se fait en utilisant l'italique dans un texte droit (police romaine) et en romain dans un texte en italique. C'est ce que fait %blue%\emph%red%{}%% :
Comme le faisait remarquer Bébert dans son %blue%\emph%red%{%%excellente étude%red%}%% sur la bière %blue%\og\%% %blue%\textit%red%{%%Une bière
%blue%\emph%red%{%%sans houblon%red%}%%, ne vaut pas la peine d'être bue%red%}%% %blue%\fg.
Attach:emphase.jpg
Puisque que l'on est dans les changement de fonte voici un tableaux récapitulatif des commandes de changement de fonte :
||Commande||Déclartion||Résultat||auto-complétion||
||%blue%\textrm%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\rmfamily {$:dots}%red%}%%||texte en roman}|| %magenta%rm%% ||
||%blue%\textsf%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\sffamily {$:dots}%red%}%%||%font-family=sans-serif%texte sans serif%%|| %magenta%sf%% ||
||%blue%\texttt%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\ttfamily {$:dots}%red%}%%||%font-family=monospace%machine à écrire%%|| %magenta%tt%% ||
||%blue%\textup%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\upshape {$:dots}%red%}%%||écriture droite (défaut)|| %magenta%up%% ||
||%blue%\textit%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\itshape {$:dots}%red%}%%||''texte en italique''|| %magenta%it%% ||
||%blue%\textsl%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\slshape {$:dots}%red%}%%||%font-style=oblique%écriture penchée%%|| %magenta%sl%% ||
||%blue%\textsc%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\scshape {$:dots}%red%}%%||%sc%Petites Capitales%%|| %magenta%sc%% ||
||%blue%\textmd%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\mdseries {$:dots}%red%}%%||médium (défaut)|| %magenta%md%% ||
||%blue%\textbf%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\bfseries {$:dots}%red%}%%||'''texte en gras'''|| %magenta%bf%% ||
[[#paragraphe]]
!!!{$:michu} change de paragraphe
%blue%\par%% permet de changer de paragraphe.
Avec %blue%\par%%, il est temps d'aborder la gestion des espaces et des paragraphes sous \{$:lat}.
[[#espace]]
!!{$:michu} dans l'espace
[[#bizarre]]
!!!La bizarrerie --
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia : [[http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret]]). Le trait court qui sert dans les césures, comme trait d'union ou pour séparer les intervalles (2000 - 2010 par exemple) et qui s'écrit ''' - ''' (le signe moins de ton clavier numérique). Le tiret moyen (demi-cadratin) – qui sert pour les énumérations, c'est également le signe moins des soustractions (5 – 3 = 2) et qui s'écrit -- (deux signes moins de ton clavier numérique accolés). Enfin le tiret long (cadratin) — utilisé pour introduire les dialogues, ou pour remplacer les parenthèses qui s'écrit --- trois signes moins de ton clavier numérique accolés.
[[#bizarrerie]]
!!!La bizarrerie %blue%\,%%
Je ne sais pas si tu auras besoin de manipuler beaucoup de chiffres et d'unités dans ton document, mais moi dans mes rapports archéologiques, j'en consomme énormément. Pour cela comme pour le reste il existe des règles typographiques. En français les décimales sont délimitées par une virgule (c'est un point en anglais). Les milliers sont séparés par une espace fine insécable (une virgule en anglais, décidément ces anglais ne font rien comme tout le monde!). Les chiffres sont séparés des unités également par une espace fine insécable. L'espace fine est deux fois plus petite que l'espace de la '''barre d'espace''' de ton clavier. Insécable signifie qu'elle ne peut être coupée en fin de ligne. Le nombre et les unités ne peuvent pas être sur deux lignes différentes. La commande %blue%\,%% permet de créer une espace fine insécable.
Dans la pratique je ne procède pas de cette façon pour écrire mes unités. J'utilise le package ''numprint'' qui gère l'écriture des nombres. Les deux mesures de mon introduction peuvent s'écrire avec ''numprint'' :
%blue%\np[m]%red%{%%500%red%}%% et %blue%\np[km]%red%{%%1,5%}%%, de cette façon je suis sûr que les normes typographiques françaises seront respectées.
[[#nombres]]
!!%orange%{$:michu} et les nombres%%
Si tu dois écrire beaucoup de nombres, il est préférable d'utiliser le package ''numprint'' ( %blue%\usepackage%red%{%%numprint%red%}%%) qui associé à ''french'' produira la bonne typographie.
|| border=0
|| '''code''' |||| '''résultat''' ||
||123456789||=||123456789||
||%blue%\numprint%red%{%%123456789%red%}%%||=||123 456 789||
||%blue%\numprint%red%{%%3,14159265358979323846%red%}%%||=||3,141 592 653 589 793 238 46||
||%blue%\numprint%red%{%%12.34%red%}%%||=||12,34||
En plus tu peux préciser les unités de cette façon :
%blue%\numprint%%[kg]%red%{%%12,34%red%}%% = 12,34 kg
Si tu veux utiliser le raccourci %blue%\np%red%{}%% au lieu de %blue%\numprint%red%{}%%, il te faut charger le package de cette façon : %blue%\usepackage%%[np]%redù{%%numprint%red%}%%
[[#capitalise]]
!!!{$:michu} capitalise petit
Une des règles en typographie française veut que le nom de famille soit écrit en petites capitales. C'est le rôle de la commande %blue%\bsc%red%{%%Le Nom%red%}%%.
%alert%La commande %blue%\bsc%red%{}%% est une commande de l'option ''french'' du package ''babel''. La commande {$:lat}est %blue%\textsc%red%{}%%. La différence entre les deux est que %blue%\bsc%% empêche la coupure du mot en fin de ligne, conformément aux règles typographiques françaises gérant les noms propres.%%
[[#emphatique]]
!!!{$:michu} emphatique
La commande %blue%\emph%red%{}%% permet de mettre une portion de texte en emphase. En typographie française mettre en relief un mot ou un groupe de mot se fait en utilisant l'italique dans un texte droit (police romaine) et en romain dans un texte en italique. C'est ce que fait %blue%\emph%red%{}%% :
Comme le faisait remarquer Bébert dans son %blue%\emph%red%{%%excellente étude%red%}%% sur la bière %blue%\og\%% %blue%\textit%red%{%%Une bière
%blue%\emph%red%{%%sans houblon%red%}%%, ne vaut pas la peine d'être bue%red%}%% %blue%\fg.
Attach:emphase.jpg
Puisque que l'on est dans les changement de fonte voici un tableaux récapitulatif des commandes de changement de fonte :
||Commande||Déclartion||Résultat||auto-complétion||
||%blue%\textrm%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\rmfamily {$:dots}%red%}%%||texte en roman}|| %magenta%rm%% ||
||%blue%\textsf%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\sffamily {$:dots}%red%}%%||%font-family=sans-serif%texte sans serif%%|| %magenta%sf%% ||
||%blue%\texttt%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\ttfamily {$:dots}%red%}%%||%font-family=monospace%machine à écrire%%|| %magenta%tt%% ||
||%blue%\textup%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\upshape {$:dots}%red%}%%||écriture droite (défaut)|| %magenta%up%% ||
||%blue%\textit%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\itshape {$:dots}%red%}%%||''texte en italique''|| %magenta%it%% ||
||%blue%\textsl%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\slshape {$:dots}%red%}%%||%font-style=oblique%écriture penchée%%|| %magenta%sl%% ||
||%blue%\textsc%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\scshape {$:dots}%red%}%%||%sc%Petites Capitales%%|| %magenta%sc%% ||
||%blue%\textmd%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\mdseries {$:dots}%red%}%%||médium (défaut)|| %magenta%md%% ||
||%blue%\textbf%red%{%%{$:dots}%red%}%%||%red%{%% %blue%\bfseries {$:dots}%red%}%%||'''texte en gras'''|| %magenta%bf%% ||
[[#paragraphe]]
!!!{$:michu} change de paragraphe
%blue%\par%% permet de changer de paragraphe.
Avec %blue%\par%%, il est temps d'aborder la gestion des espaces et des paragraphes sous \{$:lat}.
[[#espace]]
!!{$:michu} dans l'espace
05/10/2011 09:11
par -
Lignes 4-5 modifiées:
en:
%define=magenta color=#ff00ff%
Lignes 52-53 modifiées:
Attach:sauvegarde|Vue du fichier maître dans la fenêtre TeXworks. Remarque les effets de la coloration syntaxique.
en:
Attach:maitre.png|Vue du fichier maître dans la fenêtre TeXworks. Remarque les effets de la coloration syntaxique.
Lignes 59-60 modifiées:
Comme tu fais appel au fichier ''introduction.tex'', tu vas le créer. Un appel à un fichier qui n'existe pas va produire une erreur lors de la compilation. les touches Ctrl + N ouvre une nouvelle fenêtre TeXworks. Tu as remarqué on ne suit déjà plus l'ordre que j'avais indiqué, mais c'est pas grave on s'occupera du titre plus tard.
en:
Comme tu fais appel au fichier ''introduction.tex'', tu vas le créer. Un appel à un fichier qui n'existe pas va produire une erreur lors de la compilation. Les touches '''Ctrl+N''' ouvre une nouvelle fenêtre TeXworks. Tu as remarqué on ne suit déjà plus l'ordre que j'avais indiqué, mais c'est pas grave on s'occupera du titre plus tard.
Lignes 70-76 modifiées:
|| %blue%\part%% ||0 ||Première partie || %blue%\part%% ||-1 ||Première partie ||
|| %blue%\section%% ||1 ||1. || %blue%\chapter%% ||0 ||1. ||
|| %blue%\subsection%% ||2 ||1.1. || %blue%\section%% ||1 ||1.1. ||
|| %blue%\subsubsection%% ||3 ||1.1.1. || %blue%\subsection%% ||2 ||1.1.1. ||
|| %blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation || %blue%\subsubsection%% ||3 ||pas de numérotation ||
|| %blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation || %blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation ||
|| || || %blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation ||
|| %blue%\section%% ||1 ||1. || %blue%\chapter%% ||0 ||1. ||
|| %blue%\subsection%% ||2 ||1.1. || %blue%\section%% ||1 ||1.1. ||
|| %blue%\subsubsection%% ||3 ||1.1.1. || %blue%\subsection%% ||2 ||1.1.1. ||
|| %blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation || %blue%\subsubsection%% ||3 ||pas de numérotation ||
|| %blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation || %blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation ||
|| || || %blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation ||
en:
|| %blue%\part%% || 0 ||Première partie || %blue%\part%% || -1 ||Première partie ||
|| %blue%\section%% || 1 ||1. || %blue%\chapter%% || 0 ||1. ||
|| %blue%\subsection%% || 2 ||1.1. || %blue%\section%% || 1 ||1.1. ||
|| %blue%\subsubsection%% || 3 ||1.1.1. || %blue%\subsection%% || 2 ||1.1.1. ||
|| %blue%\paragraph%% || 4 ||pas de numérotation || %blue%\subsubsection%% || 3 ||pas de numérotation ||
|| %blue%\subparagraph%% || 5 ||pas de numérotation || %blue%\paragraph%% || 4 ||pas de numérotation ||
|| || || ||%blue%\subparagraph%% || 5 ||pas de numérotation ||
|| %blue%\section%% || 1 ||1. || %blue%\chapter%% || 0 ||1. ||
|| %blue%\subsection%% || 2 ||1.1. || %blue%\section%% || 1 ||1.1. ||
|| %blue%\subsubsection%% || 3 ||1.1.1. || %blue%\subsection%% || 2 ||1.1.1. ||
|| %blue%\paragraph%% || 4 ||pas de numérotation || %blue%\subsubsection%% || 3 ||pas de numérotation ||
|| %blue%\subparagraph%% || 5 ||pas de numérotation || %blue%\paragraph%% || 4 ||pas de numérotation ||
|| || || ||%blue%\subparagraph%% || 5 ||pas de numérotation ||
Lignes 89-90 modifiées:
en:
!!%orange%Taille des divisions%%
Lignes 99-101 modifiées:
''Les trois formats de taille de divisions de KOMA-Script, de gauche à droite\\ '''headings=big''', '''headings=normal''', '''headings=small'''.''
en:
''Les trois formats de taille de divisions de KOMA-Script, de gauche à droite '''headings=big''', '''headings=normal''', '''headings=small'''.''
Ligne 113 modifiée:
%blue%\section%red{%%Un titre sur%blue%\\%%deux lignes%red%}%%
en:
%blue%\section%red%{%%Un titre sur%blue%\\%%deux lignes%red%}%%
Lignes 117-118 modifiées:
%blue%\section[Un titre sur une ligne]%red%{%%Un titre sur%blue%\\%%deux lignes%red%}%%
en:
%blue%\section%%[Un titre sur une ligne]%red%{%%Un titre sur%blue%\\%%deux lignes%red%}%%
Lignes 149-152 modifiées:
%rem%Un petit rappel pour te signaler que la lecture des parties dont le titre est en orange n'est pas indispensable dans un premier temps.%%
en:
!!%orange%Profondeur de la numérotation%%
%rem%Un petit rappel pour te signaler que la lecture des parties dont le titre est en %orange%orange%% n'est pas indispensable dans un premier temps.%%
%rem%Un petit rappel pour te signaler que la lecture des parties dont le titre est en %orange%orange%% n'est pas indispensable dans un premier temps.%%
Ligne 158 modifiée:
%blue%\setcounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%nombre%Red%}%%
en:
%blue%\setcounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%nombre%red%}%%
Lignes 162-163 modifiées:
%blue%\setcounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%4%Red%}%%
en:
%blue%\setcounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%4%red%}%%
Lignes 168-169 modifiées:
%blue%\setcounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%10%Red%}%%
en:
%blue%\setcounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%10%red%}%%
Lignes 171-172 modifiées:
Au contraire avec une profondeur de -2 aucune division ne sera numérotée. (%blue%\part la division la plus grande à la valeur -1). Dans ce cas tu n'es plus obligé d'utiliser les commandes KOMA-Script comme %blue%\addsec%red%{}%%.
en:
Au contraire avec une profondeur de -2 aucune division ne sera numérotée. (%blue%\part%% la division la plus grande à la valeur -1). Dans ce cas tu n'es plus obligé d'utiliser les commandes KOMA-Script comme %blue%\addsec%red%{}%%.
Lignes 179-180 modifiées:
%blue%\addtocounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%12%Red%}%%
en:
%blue%\addtocounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%2%red%}%%
Lignes 190-191 modifiées:
%blue%\setcounter%red%{%%compteur%red%}{%%nouvelleValeur%Red%}%%
en:
%blue%\setcounter%red%{%%compteur%red%}{%%nouvelleValeur%red%}%%
Lignes 194-196 modifiées:
%blue%\addtocounter%red%{%%compteur%red%}{%%augmentation%Red%}%%
qui incrémente de ''augmentation'' le compteur (se nombre peut être négatif pour diminuer le compteur).Voici des exemples avec le compteur de sous-section. Le compteur des division de texte à le même nom que la division donc notre compteur s'appelle ''subsection}. Voici une première sous-section de la première section du chapitre 1, obtenue par le code suivant :
qui incrémente de ''augmentation'' le compteur (se nombre peut être négatif pour diminuer le compteur).
en:
%blue%\addtocounter%red%{%%compteur%red%}{%%augmentation%red%}%%
qui incrémente de ''augmentation'' le compteur (se nombre peut être négatif pour diminuer le compteur).
Pour te montrer ce qui se passe on va jouer avec le compteur de sous-section. Le compteur des divisions de texte à le même nom que la division donc notre compteur s'appelle ''subsection''. Tu peux afficher dans ton texte lea valeur de tes compteurs par la commande %blue%\thecompteur%%. Donc pour les section %blue%\thesection, pour les sous-section %blue%\thesubsection%% et de même %blue%\thechapter%% {$:dots}.
Voici le code de toutes les opérations :
%blue%\section%red%{%%Première section%red%}%%
qui incrémente de ''augmentation'' le compteur (se nombre peut être négatif pour diminuer le compteur).
Pour te montrer ce qui se passe on va jouer avec le compteur de sous-section. Le compteur des divisions de texte à le même nom que la division donc notre compteur s'appelle ''subsection''. Tu peux afficher dans ton texte lea valeur de tes compteurs par la commande %blue%\thecompteur%%. Donc pour les section %blue%\thesection, pour les sous-section %blue%\thesubsection%% et de même %blue%\thechapter%% {$:dots}.
Voici le code de toutes les opérations :
%blue%\section%red%{%%Première section%red%}%%
Ligne 204 modifiée:
en:
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
Lignes 206-207 supprimées:
Attach:
Lignes 208-245 modifiées:
%blue%\setcounter}{subsection}{6}\\
%blue%\subsection}{Deuxième sous-sous-section}}
\resultat{\setcounter{subsection}{6}
!!!Deuxième sous-section}}
On va incrémenter de 2 pour la troisième, donc notre compteur vaut 7+2=9 et la commande %blue%\subsection} l'incrémente 9+1=10 :
%blue%\addtocounter}{subsubsection}{2}\\
%blue%\subsection}{Troisième sous-section}}
\resultat{\addtocounter{subsection}{2}
!!!Troisième sous-section}}
Enfin on va diminuer le compteur pour la dernière le compteur vaut 10-4=6 et la commande %blue%\subsection} l'incrémente 6+1=7 :
%blue%\addtocounter}{subsection}{-4}\\
%blue%\subsection}{Dernière sous-section}}
\resultat{\addtocounter{subsection}{-4}
!!!Dernière sous-section}}
\setcounter{section}{5}\setcounter{chapter}{3}
!!Où {$:michu} continue d'introduire}
En général l'introduction est un chapitre non numéroté. On vient de le voir, KOMA-Script possède une commande pour faire cela %blue%\addchap}{Le titre}. Donc notre fichier ''introduction.tex} contient
%blue%\addchap}{Introduction}\\
La découverte d'un nouveau gisement moustérien dans cette région du Balafon Occidental est toujours un événement. Surtout quand cette découverte à lieu dans la vallée du Pételasoiffe, appelée par de nombreux auteur la %blue%\og}{} Vallée de l'Omo %blue%\fg}{} de l'Europe du Nord %blue%\footnote}{Rendons à César ce qui %blue%\dots} c'est au professeur Raoul %blue%\bsc}{Dumortier} que l'on doit la première mention de cette\\ expression.}. Le site d'Harfouëte -\,- La Mare au Diable, découvert en 2009, outre son insertion dans un contexte micro-régional riche, faisant déjà l'objet de très nombreuses recherches %blue%\footnote}{Une\\ synthèse sous la direction de Robert %blue%\bsc}{de Latour} devrait\\ paraître à la fin de l'année 2010.}, présente un grand intérêt \\intrinsèque. En effet la présence de %blue%\emph}{plusieurs foyers} et de %blue%\emph}{reste osseux} rendent ce site unique dans cette région.\\
%blue%\par}\\
Le gisement d'Harfouëte -\,- La Mare au Diable est situé à proximité de deux sites mondialement connu. En amont, à 500 %blue%\,}m à vol d'oiseau se trouve le site de %blue%\og}{} La roche Penchée %blue%\fg}{}, fouillé depuis les années 1887. À 1,5 %blue%\,}km en aval, se situe le gisement moustérien de %blue%\og}{}La Castellerie Rouge %blue%\fg}{}, étudié depuis près de vingt ans par l'équipe américaine du professeur A. L. %blue%\bsc}{Robinson}.
}
\begin{figure}[p]\centering
\includegraphics[width=0.7\textwidth]{introduction.png}
\setcapwidth{\textwidth}
\caption{L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat}se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un \og retour de chariot\fg. pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}}\label{intro}
\end{figure}
Voici le fichier ''introduction.tex}. On a déjà vu dans les précédentes pages la signification de certaines commandes utilisées dans celle-ci.\\
%blue%\og} qui écrit le guillemet ouvrant \og, ''o} pour {\color{orange}o}uvrez et ''g} pour {\color{orange}g}uillemet ;\\
%blue%\fg} qui écrit le guillemet fermant \fg, ''f} pour {\color{orange}f}ermez et ''g} pour {\color{orange}g}uillemet ;\label{og}\label{fg}\\
%blue%\dots} pour écrire {$:dots} qui sont les véritables trois points typographiques, ce qui n'est pas pareil que {$:dots} trois points écrits au clavier.
\index{{$:dots}}\index{og@ %blue%\og}}\index{of@ %blue%\fg}}\index{dots@ %blue%\dots}}
Quatre nouvelles commandes sont apparues : %blue%\footnote}{}, %blue%\bsc}{}, %blue%\par}, %blue%\emph}{} et deux bizarreries -\,- et %blue%\,}.
en:
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
Je modifie le compteur %blue%\verb!%%\setcounter{subsection}{6}%blue%!%%
%blue%\setcounter{subsection}{6}
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
%blue%\subsection%red%{%%Deuxième sous-section%red%}%%
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
Je modifie le compteur %blue%\verb!%%\addtocounter{subsection}{2}%blue%!%%
%blue%\addtocounter{subsection}{2}
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
%blue%\subsection%red%{%%Troisième sous-section%red%}%%
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
Je modifie le compteur %blue%\verb!%%\addtocounter{subsection}{-4}%blue%!%%
%blue%\addtocounter{subsection}{-4}
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
%blue%\subsection%red%{%%Dernière sous-section%red%}%%
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
et le résultat :
Attach:compteur.png
Quelques explications. Tout d'abord évacuons le %blue%\verb! !%%, cette commande permet d'écrire dans un texte le nom d'une commande sans que {$:lat} l'interprète.
Pour la deuxième sous-section on a mis le compteur à 6. Attention pour bien comprendre ce qui se passe , il faut savoir que la commande %blue%\subsection%% ''incrémente de 1'' le compteur ''puis affiche'' le résultat. On attribue la valeur du compteur de subsection à 6, la commande %blue%\subsection%% l'incrémente 6+1=7 et affiche le résultat.
On a incrémenté de 2 pour la troisième, donc notre compteur vaut 7+2=9 et la commande %blue%\subsectionµµ l'incrémente 9+1=10.
Enfin on a diminué de 4 le compteur pour la dernière, le compteur vaut 10-4=6 et la commande %blue%\subsection} l'incrémente 6+1=7.
!!Où {$:michu} continue d'introduire
En général l'introduction est un chapitre non numéroté. On vient de le voir, KOMA-Script possède une commande pour faire cela %blue%\addchap}{Le titre}. Donc notre fichier ''introduction.tex'' contient
%blue%\addchap}{Introduction}
La découverte d'un nouveau gisement moustérien dans cette région du Balafon Occidental est toujours un événement. Surtout quand cette
découverte à lieu dans la vallée du Pételasoiffe, appelée par de nombreux auteur la %blue%\og\%% Vallée de l'Omo %blue%\fg\%% de
l'Europe du Nord %blue%\footnote%red%{%%Rendons à César ce qui %blue%\dots%red%}%% c'est au professeur Raoul %blue%\bsc%red%{%%Dumortier%red%}%% que l'on doit
la première mention de cette expression.%red%}%%. Le site d'Harfouëte - - La Mare au Diable, découvert en 2009, outre son insertion dans
un contexte micro-régional riche, faisant déjà l'objet de très nombreuses recherches %blue%\footnote%red%{%%Une synthèse sous la direction
de Robert %blue%\bsc%red%{%%de Latour%red%}%% devrait paraître à la fin de l'année 2010.%red%}%%, présente un grand intérêt intrinsèque. En effet la
présence de %blue%\emph}{plusieurs foyers} et de %blue%\emph}{reste osseux} rendent ce site unique dans cette région.
%blue%\par%%
Le gisement d'Harfouëte - - La Mare au Diable est situé à proximité de deux sites mondialement connu. En amont, à 500 %blue%\,%%m à vol
d'oiseau se trouve le site de %blue%\og%red%{}%% La roche Penchée %blue%\fg%red%{}%%, fouillé depuis les années 1887. À 1,5 %blue%\,%%km en aval,
se situe le gisement moustérien de %blue%\og%red%{}%%La Castellerie Rouge %blue%\fg%red%{}%%, étudié depuis près de vingt ans par l'équipe américaine
du professeur A. L. %blue%\bsc%red%{%%Robinson%red%}%%.
Attach:introduction.png|L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat} se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un ''retour de chariot''. Pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}
Voici le fichier ''introduction.tex''. On a déjà vu dans les précédentes pages la signification de certaines commandes utilisées dans celle-ci.
%blue%\og%% qui écrit le guillemet ouvrant \og, ''o'' pour %orange%o%%uvrez et ''g'' pour %orange%g%%uillemet ;
%blue%\fg%% qui écrit le guillemet fermant \fg, ''f} pour {\color{orange}f}ermez et ''g} pour {\color{orange}g}uillemet ;\label{og}\label{fg}
%blue%\dots} pour écrire {$:dots} qui sont les véritables trois points typographiques, ce qui n'est pas pareil que {$:dots} trois points écrits au clavier.
Quatre nouvelles commandes sont apparues : %blue%\footnote%red%{}%%, %blue%\bsc%red%{}%%, %blue%\par%%, %blue%\emph%red%{}%% et deux bizarreries - - et %blue%\,%%.
Je modifie le compteur %blue%\verb!%%\setcounter{subsection}{6}%blue%!%%
%blue%\setcounter{subsection}{6}
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
%blue%\subsection%red%{%%Deuxième sous-section%red%}%%
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
Je modifie le compteur %blue%\verb!%%\addtocounter{subsection}{2}%blue%!%%
%blue%\addtocounter{subsection}{2}
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
%blue%\subsection%red%{%%Troisième sous-section%red%}%%
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
Je modifie le compteur %blue%\verb!%%\addtocounter{subsection}{-4}%blue%!%%
%blue%\addtocounter{subsection}{-4}
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
%blue%\subsection%red%{%%Dernière sous-section%red%}%%
La valeur du compteur %blue%\verb!%%\thesubsection%blue%!%% = %blue%\thesubsection%%
et le résultat :
Attach:compteur.png
Quelques explications. Tout d'abord évacuons le %blue%\verb! !%%, cette commande permet d'écrire dans un texte le nom d'une commande sans que {$:lat} l'interprète.
Pour la deuxième sous-section on a mis le compteur à 6. Attention pour bien comprendre ce qui se passe , il faut savoir que la commande %blue%\subsection%% ''incrémente de 1'' le compteur ''puis affiche'' le résultat. On attribue la valeur du compteur de subsection à 6, la commande %blue%\subsection%% l'incrémente 6+1=7 et affiche le résultat.
On a incrémenté de 2 pour la troisième, donc notre compteur vaut 7+2=9 et la commande %blue%\subsectionµµ l'incrémente 9+1=10.
Enfin on a diminué de 4 le compteur pour la dernière, le compteur vaut 10-4=6 et la commande %blue%\subsection} l'incrémente 6+1=7.
!!Où {$:michu} continue d'introduire
En général l'introduction est un chapitre non numéroté. On vient de le voir, KOMA-Script possède une commande pour faire cela %blue%\addchap}{Le titre}. Donc notre fichier ''introduction.tex'' contient
%blue%\addchap}{Introduction}
La découverte d'un nouveau gisement moustérien dans cette région du Balafon Occidental est toujours un événement. Surtout quand cette
découverte à lieu dans la vallée du Pételasoiffe, appelée par de nombreux auteur la %blue%\og\%% Vallée de l'Omo %blue%\fg\%% de
l'Europe du Nord %blue%\footnote%red%{%%Rendons à César ce qui %blue%\dots%red%}%% c'est au professeur Raoul %blue%\bsc%red%{%%Dumortier%red%}%% que l'on doit
la première mention de cette expression.%red%}%%. Le site d'Harfouëte - - La Mare au Diable, découvert en 2009, outre son insertion dans
un contexte micro-régional riche, faisant déjà l'objet de très nombreuses recherches %blue%\footnote%red%{%%Une synthèse sous la direction
de Robert %blue%\bsc%red%{%%de Latour%red%}%% devrait paraître à la fin de l'année 2010.%red%}%%, présente un grand intérêt intrinsèque. En effet la
présence de %blue%\emph}{plusieurs foyers} et de %blue%\emph}{reste osseux} rendent ce site unique dans cette région.
%blue%\par%%
Le gisement d'Harfouëte - - La Mare au Diable est situé à proximité de deux sites mondialement connu. En amont, à 500 %blue%\,%%m à vol
d'oiseau se trouve le site de %blue%\og%red%{}%% La roche Penchée %blue%\fg%red%{}%%, fouillé depuis les années 1887. À 1,5 %blue%\,%%km en aval,
se situe le gisement moustérien de %blue%\og%red%{}%%La Castellerie Rouge %blue%\fg%red%{}%%, étudié depuis près de vingt ans par l'équipe américaine
du professeur A. L. %blue%\bsc%red%{%%Robinson%red%}%%.
Attach:introduction.png|L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat} se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un ''retour de chariot''. Pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}
Voici le fichier ''introduction.tex''. On a déjà vu dans les précédentes pages la signification de certaines commandes utilisées dans celle-ci.
%blue%\og%% qui écrit le guillemet ouvrant \og, ''o'' pour %orange%o%%uvrez et ''g'' pour %orange%g%%uillemet ;
%blue%\fg%% qui écrit le guillemet fermant \fg, ''f} pour {\color{orange}f}ermez et ''g} pour {\color{orange}g}uillemet ;\label{og}\label{fg}
%blue%\dots} pour écrire {$:dots} qui sont les véritables trois points typographiques, ce qui n'est pas pareil que {$:dots} trois points écrits au clavier.
Quatre nouvelles commandes sont apparues : %blue%\footnote%red%{}%%, %blue%\bsc%red%{}%%, %blue%\par%%, %blue%\emph%red%{}%% et deux bizarreries - - et %blue%\,%%.
Ligne 297 modifiée:
en:
Lignes 300-301 modifiées:
!!!La bizarrerie -\,-}\index{tiret}\index{---}
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia :\url{http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret}). Le trait court qui sert dans les césures, comme trait d'union ou pour séparer les intervalles (2000 - 2010 par exemple) et qui s'écrit \og - \fg (le signe moins de ton clavier numérique). Le tiret moyen (demi-cadratin) qui sert pour les énumérations, c'est également le signe moins des soustractions (5 -- 3 = 2) et qui s'écrit \mbox{ \og \verb!---!\fg} (deux signes moins de ton clavier numérique accolés). Enfin le tiret long (cadratin) utilisé pour introduire les dialogues, ou pour remplacer les parenthèses qui s'écrit \mbox{\og \verb!----!\fg} --- trois signes moins de ton clavier numérique accolés ---.
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia :
en:
!!!La bizarrerie - -
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia : [[http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret]]). Le trait court qui sert dans les césures, comme trait d'union ou pour séparer les intervalles (2000 - 2010 par exemple) et qui s'écrit ''' - ''' (le signe moins de ton clavier numérique). Le tiret moyen (demi-cadratin) qui sert pour les énumérations, c'est également le signe moins des soustractions (5 -- 3 = 2) et qui s'écrit - - (deux signes moins de ton clavier numérique accolés). Enfin le tiret long (cadratin) utilisé pour introduire les dialogues, ou pour remplacer les parenthèses qui s'écrit \mbox{\og \verb!----!\fg} --- trois signes moins de ton clavier numérique accolés ---.
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia : [[http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret]]). Le trait court qui sert dans les césures, comme trait d'union ou pour séparer les intervalles (2000 - 2010 par exemple) et qui s'écrit ''' - ''' (le signe moins de ton clavier numérique). Le tiret moyen (demi-cadratin) qui sert pour les énumérations, c'est également le signe moins des soustractions (5 -- 3 = 2) et qui s'écrit - - (deux signes moins de ton clavier numérique accolés). Enfin le tiret long (cadratin) utilisé pour introduire les dialogues, ou pour remplacer les parenthèses qui s'écrit \mbox{\og \verb!----!\fg} --- trois signes moins de ton clavier numérique accolés ---.
04/10/2011 15:08
par -
Lignes 67-76 modifiées:
|| article (scrartcl)%%||||||livre (scrbook) et rapport (scrreprt)||||||
||nom ||niveau ||numérotation ||nom ||niveau ||numérotation ||
%blue%\part%% ||0 ||Première partie || %blue%\part%% ||-1 ||Première partie ||
%blue%\section%% ||1 ||1. || %blue%\chapter%% ||0 ||1. ||
%blue%\subsection%% ||2 ||1.1. || %blue%\section%% ||1 ||1.1. ||
%blue%\subsubsection%% ||3 ||1.1.1. || %blue%\subsection%% ||2 ||1.1.1. ||
%blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation || %blue%\subsubsection%% ||3 ||pas de numérotation ||
%blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation || %blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation ||
|| || || %blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation ||
||nom ||niveau ||numérotation ||nom ||niveau ||numérotation ||
%blue%\part%% ||0 ||Première partie || %blue%\part%% ||-1 ||Première partie ||
%blue%\section%% ||1 ||1. || %blue%\chapter%% ||0 ||1. ||
%blue%\subsection%% ||2 ||1.1. || %blue%\section%% ||1 ||1.1. ||
%blue%\subsubsection%% ||3 ||1.1.1. || %blue%\subsection%% ||2 ||1.1.1. ||
%blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation || %blue%\subsubsection%% ||3 ||pas de numérotation ||
%blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation || %blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation ||
en:
|| article (scrartcl) |||||| livre (scrbook) et rapport (scrreprt) ||||||
|| nom || niveau || numérotation || nom || niveau || numérotation ||
|| %blue%\part%% ||0 ||Première partie || %blue%\part%% ||-1 ||Première partie ||
|| %blue%\section%% ||1 ||1. || %blue%\chapter%% ||0 ||1. ||
|| %blue%\subsection%% ||2 ||1.1. || %blue%\section%% ||1 ||1.1. ||
|| %blue%\subsubsection%% ||3 ||1.1.1. || %blue%\subsection%% ||2 ||1.1.1. ||
|| %blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation || %blue%\subsubsection%% ||3 ||pas de numérotation ||
|| %blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation || %blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation ||
|| || || %blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation ||
|| nom || niveau || numérotation || nom || niveau || numérotation ||
|| %blue%\part%% ||0 ||Première partie || %blue%\part%% ||-1 ||Première partie ||
|| %blue%\section%% ||1 ||1. || %blue%\chapter%% ||0 ||1. ||
|| %blue%\subsection%% ||2 ||1.1. || %blue%\section%% ||1 ||1.1. ||
|| %blue%\subsubsection%% ||3 ||1.1.1. || %blue%\subsection%% ||2 ||1.1.1. ||
|| %blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation || %blue%\subsubsection%% ||3 ||pas de numérotation ||
|| %blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation || %blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation ||
|| || || %blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation ||
04/10/2011 15:04
par -
Lignes 10-12 modifiées:
!{$:michu} veut une méthode de travail}
Je vais t'indiquer une méthode de travail. C'est celle que j'utilise pour la rédaction de tous mes rapports, mais bien entendu tu peux faire autrement. Dans ce tutoriel, nous allons étudier les éléments dans l'ordre, la page de titre puis l'introduction le premier chapitre{$:dots} les annexes. Mais dans la pratique je ne procède pas de cette manière. En général je me préoccupe du titre à la fin et il est rare que j'écrive tous les chapitres dans l'ordre. Ça c'est le gros avantage de {$:lat} sur les traitements de texte classiques, comme tu ne t'occupes pas de la mise en page, tu peux faire les choses dans l'ordre que tu veux {$:lat} se débrouillera tout seul pour recoller les morceaux correctement. Tu peux toujours rajouter des éléments même en début de texte sans avoir à te préoccuper du décalage que cela va occasionner sur les images, les tableaux,{$:dots} déjà insérés. Tu verras {$:lat} gère cela très bien.
en:
!{$:michu} veut une méthode de travail
Je vais t'indiquer une méthode de travail. C'est celle que j'utilise pour la rédaction de tous mes rapports, mais bien entendu tu peux faire autrement. Dans ce tutoriel, nous allons étudier les éléments dans l'ordre, la page de titre puis l'introduction le premier chapitre{$:dots} les annexes. Mais dans la pratique je ne procède pas de cette manière. En général je me préoccupe du titre à la fin et il est rare que j'écrive tous les chapitres dans l'ordre. Ça c'est le gros avantage de {$:lat} sur les traitements de texte classiques, comme tu ne t'occupes pas de la mise en page, tu peux faire les choses dans l'ordre que tu veux {$:lat} se débrouillera tout seul pour recoller les morceaux correctement. Tu peux toujours rajouter des éléments même en début de texte sans avoir à te préoccuper du décalage que cela va occasionner sur les images, les tableaux,{$:dots} déjà insérés. Tu verras {$:lat} gère cela très bien.
Je vais t'indiquer une méthode de travail. C'est celle que j'utilise pour la rédaction de tous mes rapports, mais bien entendu tu peux faire autrement. Dans ce tutoriel, nous allons étudier les éléments dans l'ordre, la page de titre puis l'introduction le premier chapitre{$:dots} les annexes. Mais dans la pratique je ne procède pas de cette manière. En général je me préoccupe du titre à la fin et il est rare que j'écrive tous les chapitres dans l'ordre. Ça c'est le gros avantage de {$:lat} sur les traitements de texte classiques, comme tu ne t'occupes pas de la mise en page, tu peux faire les choses dans l'ordre que tu veux {$:lat} se débrouillera tout seul pour recoller les morceaux correctement. Tu peux toujours rajouter des éléments même en début de texte sans avoir à te préoccuper du décalage que cela va occasionner sur les images, les tableaux,{$:dots} déjà insérés. Tu verras {$:lat} gère cela très bien.
Lignes 15-16 modifiées:
!!{$:michu} divise pour mieux régner}
en:
!!{$:michu} divise pour mieux régner
Lignes 19-26 modifiées:
en:
*'''monRapport.tex''' c'est le fichier maitre, qui contient le préambule et l'appel aux autres fichiers ;
*'''introduction.tex''' comme son nom l'indique, contient le texte d'introduction du document ;
*'''chapitre1.tex''' là aussi le nom est explicite. En général je ne l'intitule pas de cette manière mais avec un mot du titre, car c'est plus parlant et il se peut que ce chapitre ne reste pas toujours le premier ;
*'''{$:dots}''' la suite des fichiers par chapitre ou section ou partie de section ;
*'''conclusion.tex''' ce serait pas mal de mettre la conclusion dans ce fichier ;
*'''annexe1.tex''' une annexe, pour ce tutoriel il n'y en aura qu'une seule mais tu peux en créer plusieurs.
*'''introduction.tex''' comme son nom l'indique, contient le texte d'introduction du document ;
*'''chapitre1.tex''' là aussi le nom est explicite. En général je ne l'intitule pas de cette manière mais avec un mot du titre, car c'est plus parlant et il se peut que ce chapitre ne reste pas toujours le premier ;
*'''{$:dots}''' la suite des fichiers par chapitre ou section ou partie de section ;
*'''conclusion.tex''' ce serait pas mal de mettre la conclusion dans ce fichier ;
*'''annexe1.tex''' une annexe, pour ce tutoriel il n'y en aura qu'une seule mais tu peux en créer plusieurs.
Ligne 35 modifiée:
en:
%blue%\documentclass%%[10pt,twoside]%red%{%%scrreprt%red%}%%
Ligne 57 modifiée:
!!{$:michu} introduit}
en:
!!{$:michu} introduit
Lignes 185-186 modifiées:
en:
!!%orange%{$:michu} confrontée aux compteurs%%
Ligne 241 modifiée:
!!!Première difficulté pour {$:michu} : les notes en bas de page}
en:
!!!Première difficulté pour {$:michu} : les notes en bas de page
04/10/2011 14:59
par -
Lignes 1-367 ajoutées:
%left bgcolor=#dfd border='3px dotted green' define=rem%
%left bgcolor=#ff7a7a border='3px dotted red' define=alert%
%define=orange color=#ff7f00%
(:michu:M'^elle^' Michu:)
(:lat:LaTeX:)
(:dots:. . .:)
[[#methode]]
!{$:michu} veut une méthode de travail}
Je vais t'indiquer une méthode de travail. C'est celle que j'utilise pour la rédaction de tous mes rapports, mais bien entendu tu peux faire autrement. Dans ce tutoriel, nous allons étudier les éléments dans l'ordre, la page de titre puis l'introduction le premier chapitre{$:dots} les annexes. Mais dans la pratique je ne procède pas de cette manière. En général je me préoccupe du titre à la fin et il est rare que j'écrive tous les chapitres dans l'ordre. Ça c'est le gros avantage de {$:lat} sur les traitements de texte classiques, comme tu ne t'occupes pas de la mise en page, tu peux faire les choses dans l'ordre que tu veux {$:lat} se débrouillera tout seul pour recoller les morceaux correctement. Tu peux toujours rajouter des éléments même en début de texte sans avoir à te préoccuper du décalage que cela va occasionner sur les images, les tableaux,{$:dots} déjà insérés. Tu verras {$:lat} gère cela très bien.
[[#divise]]
!!{$:michu} divise pour mieux régner}
Quand j'écris un rapport je ne le fais pas dans un seul fichier, mais je crée autant de fichier que de chapitres ou de section. C'est plus facile pour s'y retrouver, surtout si le document est important. Tu peux diviser ton document comme tu l'entends, tu n'es pas obligé de respecter la division par section ou chapitre. Tu peux mettre plusieurs sections dans un fichier ou avoir plusieurs fichiers pour une section. Le but est de pouvoir accéder rapidement et facilement à n'importe quel partie de ton document. Tu organises ton travail comme tu veux. Pour ce tutoriel on va diviser le document de la façon suivante :
*'''monRapport.tex''' c'est le fichier maitre, qui contient le préambule et l'appel aux autres fichiers ;
*'''introduction.tex''' comme son nom l'indique, contient le texte d'introduction du document ;
*'''chapitre1.tex''' là aussi le nom est explicite. En général je ne l'intitule pas de cette manière mais avec un mot du titre, car c'est plus parlant et il se peut que ce chapitre ne reste pas toujours le premier ;
*'''{$:dots}''' la suite des fichiers par chapitre ou section ou partie de section ;
*'''conclusion.tex''' ce serait pas mal de mettre la conclusion dans ce fichier ;
*'''annexe1.tex''' une annexe, pour ce tutoriel il n'y en aura qu'une seule mais tu peux en créer plusieurs.
[[#fichier]]
!!{$:michu} appelle un fichier
La commande pour appeler un fichier est :
%blue%\input%red%{%%monFichier%red%}%%
Tu n'indiques pas l'extension .tex, le fichier appelé doit être dans le même répertoire que le fichier appelant. Il parait assez logique d'avoir préalablement créé un répertoire qui contiendra tous les documents nécessaires à la réalisation de ton rapport. Tu vas donc créer ton fichier maître ''monRapport.tex'', qui contient les lignes suivantes :
%blue%\documentclass%%[10pt,twoside]%red%{%%scrreprt%red%}%%
%blue%\usepackage%%[utf8]%red%{%%inputenc%red%}%%
%blue%\usepackage%%[T1]%red%{%%fontenc%red%}%%
%blue%\usepackage%red%{%%lmodern%red%}%%
%blue%\usepackage%%[frenchb]%red%{%%babel%red%}%%
%green%\begin{document}
%blue%\input%red%{%%introduction%red%}%%
%green%\end{document}
Attach:sauvegarde|Vue du fichier maître dans la fenêtre TeXworks. Remarque les effets de la coloration syntaxique.
Tu dois donc avoir dans ta fenêtre TeXworks quelque chose qui ressemble à la figure ci-dessus.
Il est temps de sauvegarder ton premier fichier, menu ''Fichier'' sous menu ''Sauvegarder''. Pour notre exemple tu vas l'appeler ''monRapport.tex''. Ce sera notre fichier maître.
[[#introduit]]
!!{$:michu} introduit}
Comme tu fais appel au fichier ''introduction.tex'', tu vas le créer. Un appel à un fichier qui n'existe pas va produire une erreur lors de la compilation. les touches Ctrl + N ouvre une nouvelle fenêtre TeXworks. Tu as remarqué on ne suit déjà plus l'ordre que j'avais indiqué, mais c'est pas grave on s'occupera du titre plus tard.
On va rentrer dans le vif du sujet, et tu vas te rendre compte que le travail avec {$:lat} est différent de celui fourni avec un traitement de texte classique. Avec {$:lat} tu dois juste indiquer par une commande que l'introduction est un chapitre et c'est tout. {$:lat} va ce charger tout seul de la numérotation, de la taille et de la graisse de la police. Ce n'est pas ton problème, toi tu t'occupes du texte de ton introduction.
[[#sectionne]]
!!{$:michu} sectionne
Le sectionnement est différent pour les classes livre et rapport d'une part (présence de chapitre) et article d'autre part (pas de chapitre). {$:lat} attribue un numéro de niveau à ces divisions, qui est utilisé dans certaines options comme la profondeur de la numérotation (voir section \ref{profondeurNum} p.\pageref{profondeurNum}). Les divisions sont automatiquement numérotées.
|| border=1
|| article (scrartcl)%%||||||livre (scrbook) et rapport (scrreprt)||||||
||nom ||niveau ||numérotation ||nom ||niveau ||numérotation ||
%blue%\part%% ||0 ||Première partie || %blue%\part%% ||-1 ||Première partie ||
%blue%\section%% ||1 ||1. || %blue%\chapter%% ||0 ||1. ||
%blue%\subsection%% ||2 ||1.1. || %blue%\section%% ||1 ||1.1. ||
%blue%\subsubsection%% ||3 ||1.1.1. || %blue%\subsection%% ||2 ||1.1.1. ||
%blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation || %blue%\subsubsection%% ||3 ||pas de numérotation ||
%blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation || %blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation ||
|| || || %blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation ||
''Différentes divisions en fonction du type de document.''
%blue%\chapter}{Un chapitre}\\
%blue%\section}{Une section}\\
%blue%\subsection}{Une sous section}\\
%blue%\subsubsection}{Une sous sous section}\\
%blue%\paragraph}{Un paragraphe}\\
%blue%\subparagraph}{Un sous paragraphe}}
Attach:section.png
%orange%!!Taille des divisions%%
KOMA-Script possède 3 formats de taille de divisions différents que l'on modifie par l'option ''headings'' : ''headings=big'' (option par défaut), ''headings=normal'', ''headings=small''. Si tu veux une petite taille des titres voici comment faire :
%blue%\documentclass%%[10pt,twoside,headings=small]%red%{%%scrreprt%red%}%%
Attach:big.png
Attach:normal.png
Attach:small.png
''Les trois formats de taille de divisions de KOMA-Script, de gauche à droite\\ '''headings=big''', '''headings=normal''', '''headings=small'''.''
!!!Arguments optionnels des divisions
Toutes les divisions se présentent de la même façon :
%blue%\nomDivision%%[titre court]%red%{%%titre de la division%red%}%%
[titre court] permet d'indiquer un autre titre qui sera utilisé dans la table des matières ou les entêtes. Cela est très utile par exemple pour indiquer une forme raccourcie d'un titre long, qui déborde dans la table des matières ou dans l'entête.
Tu peux aussi forcer une division à s'écrire sur plusieurs lignes à l'aide de
%blue%\\%% (voir la section \ref{espace} page \pageref{espace} pour les commandes de saut de ligne:
%blue%\section%red{%%Un titre sur%blue%\\%%deux lignes%red%}%%
Mais cette méthode peut introduire des effets indésirables dans la table des matières ou les entêtes. Pour éviter ces problèmes il vaut mieux réécrire le titre sans %blue%\\%% dans l'argument optionnel :
%blue%\section[Un titre sur une ligne]%red%{%%Un titre sur%blue%\\%%deux lignes%red%}%%
Le titre optionnel sert également dans le cas où l'on désire mettre une note de bas de page dans un titre. L'apparition problématique de la note de bas de page dans le sommaire peut être évité par l'emploie du titre optionnel :
%blue%\section[Un titre sans note de bas de page]%red%{%%Un titre avec une note de bas de page %blue%\footnote%red%{%%La note%red%}}%%
%rem%Les commandes comme %blue%\section%% sont appelées des commandes mobiles car elle apparaissent plusieurs fois dans le document. La même section apparaitra dans le texte, dans la table des matières et dans l'entête. Les commandes comme %blue%\footnote%%, dite fragile, n'aime pas trop se retrouver dans des commandes mobiles. Donc pour éviter des problèmes de compilation il vaut mieux les protéger par la commande %blue%\protect%%%%
%blue%\section[Un titre sans note de bas de page]%red%{%%Un titre avec une note de bas de page %blue%\protect \footnote%red%{%%La note%red%}}%%
!!!Formes sans numérotation
Les commandes ''addpart'', ''addchap'' et ''addsec'' produisent des divisions sans numérotation qui apparaissent dans la table des matières et dans l'entête. On se sert de cette forme notamment pour l'introduction ou la conclusion qui ne sont généralement pas numérotées.
%blue%\addpart[version courte]%red%{%%titre%red%}%%
%blue%\addchap[version courte]%red%{%%titre%red%}%%
%blue%\addsec[version courte]%red%{%%titre%red%}%%
Il existe également une version étoilé qui ne produit d'entrée ni dans la table des matières ni dans l'entête.
%blue%\addpart*%red%{%%titre}
%blue%\addchap*%red%{%%titre}
%blue%\addsec*%red%{%%titre}
%alert%Ce sont des commandes KOMA-Script, qui n'existent pas dans les classes classiques (book, article, report).%%
%orange%!!Profondeur de la numérotation%%
%rem%Un petit rappel pour te signaler que la lecture des parties dont le titre est en orange n'est pas indispensable dans un premier temps.%%
Par défaut pour {$:lat} la numérotation des divisions se fait jusqu'à %blue%\subsection%% comprise, au-delà les divisions ne sont plus numérotées. Cela correspond au niveau 2 (voir le tableau \ref{tabProfondeur} p. \pageref{tabProfondeur}).
Cette profondeur de numérotation est contrôlée par le compteur %blue%secnumdepth%% dont la valeur par défaut est 2. Tu peux modifier sa valeur par la commande :
%blue%\setcounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%nombre%Red%}%%
Par exemple
%blue%\setcounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%4%Red%}%%
étendra la numérotation jusqu'au %blue%\paragraph%%.
Si tu veux que toutes les divisions de ton document soit numérotées, utilise une grande valeur comme 10
%blue%\setcounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%10%Red%}%%
Au contraire avec une profondeur de -2 aucune division ne sera numérotée. (%blue%\part la division la plus grande à la valeur -1). Dans ce cas tu n'es plus obligé d'utiliser les commandes KOMA-Script comme %blue%\addsec%red%{}%%.
Si tu ne connais pas le niveau de profondeur de ton document et que tu veuilles ajouter un niveau de numérotation supplémentaire, tu peux utiliser la commande
%blue%\addtocounter%red%{%%secnumdepth%red%}{}%%
Tu utilises
%blue%\addtocounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%12%Red%}%%
pour 2 niveaux supplémentaires et ainsi de suite.
Toutes ces commandes se placent avant le %green%\begin{document}%%.
%orange%!!{$:michu} confrontée aux compteurs%%
Il existe un certain nombre de compteurs prédéfinis dans {$:lat}, comme par exemple les compteurs de pages, de chapitres, de sections, de numéros de figures,{$:dots} Tu seras peut-être amenée à en modifier quelques uns pour adapter le comportement par défaut de {$:lat} à tes souhaits (voir la modification du numéro de page section \ref{numpage}, page \pageref{numpage}). Ce n'est pas difficile, il existe deux commandes,
%blue%\setcounter%red%{%%compteur%red%}{%%nouvelleValeur%Red%}%%
qui attribue au compteur la nouvelle valeur et
%blue%\addtocounter%red%{%%compteur%red%}{%%augmentation%Red%}%%
qui incrémente de ''augmentation'' le compteur (se nombre peut être négatif pour diminuer le compteur). Voici des exemples avec le compteur de sous-section. Le compteur des division de texte à le même nom que la division donc notre compteur s'appelle ''subsection}. Voici une première sous-section de la première section du chapitre 1, obtenue par le code suivant :
%blue%\section%red%{%%Première section%red%}%%
%blue%\subsection%red%{%%Première sous-section%red%}%%
Attach:
Pour la deuxième sous-section on va mettre le compteur à 6. Attention pour bien comprendre ce qui se passe , il faut savoir que la commande %blue%\subsection} ''incrémente de 1} le compteur ''puis affiche} le résultat. On attribue la valeur du compteur de subsection à 6, la commande %blue%\subsection} l'incrémente 6+1=7 et affiche le résultat :
%blue%\setcounter}{subsection}{6}\\
%blue%\subsection}{Deuxième sous-sous-section}}
\resultat{\setcounter{subsection}{6}
!!!Deuxième sous-section}}
On va incrémenter de 2 pour la troisième, donc notre compteur vaut 7+2=9 et la commande %blue%\subsection} l'incrémente 9+1=10 :
%blue%\addtocounter}{subsubsection}{2}\\
%blue%\subsection}{Troisième sous-section}}
\resultat{\addtocounter{subsection}{2}
!!!Troisième sous-section}}
Enfin on va diminuer le compteur pour la dernière le compteur vaut 10-4=6 et la commande %blue%\subsection} l'incrémente 6+1=7 :
%blue%\addtocounter}{subsection}{-4}\\
%blue%\subsection}{Dernière sous-section}}
\resultat{\addtocounter{subsection}{-4}
!!!Dernière sous-section}}
\setcounter{section}{5}\setcounter{chapter}{3}
!!Où {$:michu} continue d'introduire}
En général l'introduction est un chapitre non numéroté. On vient de le voir, KOMA-Script possède une commande pour faire cela %blue%\addchap}{Le titre}. Donc notre fichier ''introduction.tex} contient
%blue%\addchap}{Introduction}\\
La découverte d'un nouveau gisement moustérien dans cette région du Balafon Occidental est toujours un événement. Surtout quand cette découverte à lieu dans la vallée du Pételasoiffe, appelée par de nombreux auteur la %blue%\og}{} Vallée de l'Omo %blue%\fg}{} de l'Europe du Nord %blue%\footnote}{Rendons à César ce qui %blue%\dots} c'est au professeur Raoul %blue%\bsc}{Dumortier} que l'on doit la première mention de cette\\ expression.}. Le site d'Harfouëte -\,- La Mare au Diable, découvert en 2009, outre son insertion dans un contexte micro-régional riche, faisant déjà l'objet de très nombreuses recherches %blue%\footnote}{Une\\ synthèse sous la direction de Robert %blue%\bsc}{de Latour} devrait\\ paraître à la fin de l'année 2010.}, présente un grand intérêt \\intrinsèque. En effet la présence de %blue%\emph}{plusieurs foyers} et de %blue%\emph}{reste osseux} rendent ce site unique dans cette région.\\
%blue%\par}\\
Le gisement d'Harfouëte -\,- La Mare au Diable est situé à proximité de deux sites mondialement connu. En amont, à 500 %blue%\,}m à vol d'oiseau se trouve le site de %blue%\og}{} La roche Penchée %blue%\fg}{}, fouillé depuis les années 1887. À 1,5 %blue%\,}km en aval, se situe le gisement moustérien de %blue%\og}{}La Castellerie Rouge %blue%\fg}{}, étudié depuis près de vingt ans par l'équipe américaine du professeur A. L. %blue%\bsc}{Robinson}.
}
\begin{figure}[p]\centering
\includegraphics[width=0.7\textwidth]{introduction.png}
\setcapwidth{\textwidth}
\caption{L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat}se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un \og retour de chariot\fg. pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}}\label{intro}
\end{figure}
Voici le fichier ''introduction.tex}. On a déjà vu dans les précédentes pages la signification de certaines commandes utilisées dans celle-ci.\\
%blue%\og} qui écrit le guillemet ouvrant \og, ''o} pour {\color{orange}o}uvrez et ''g} pour {\color{orange}g}uillemet ;\\
%blue%\fg} qui écrit le guillemet fermant \fg, ''f} pour {\color{orange}f}ermez et ''g} pour {\color{orange}g}uillemet ;\label{og}\label{fg}\\
%blue%\dots} pour écrire {$:dots} qui sont les véritables trois points typographiques, ce qui n'est pas pareil que {$:dots} trois points écrits au clavier.
\index{{$:dots}}\index{og@ %blue%\og}}\index{of@ %blue%\fg}}\index{dots@ %blue%\dots}}
Quatre nouvelles commandes sont apparues : %blue%\footnote}{}, %blue%\bsc}{}, %blue%\par}, %blue%\emph}{} et deux bizarreries -\,- et %blue%\,}.
!!!Première difficulté pour {$:michu} : les notes en bas de page}
\index{note en bas de page} \index{footnote@ %blue%\footnote}{}}
Avec {$:lat}ce n'est pas une difficulté. Il te suffit juste d'employer la commande %blue%\footnote}{Ici le texte de ta note de bas de page} que tu pla\-ces dans le texte à l'endroit ou te veux voir apparaître l'appelle de la note. {$:lat}s'occupera de l'attribution du numéro et de son placement.
!!!La bizarrerie -\,-}\index{tiret}\index{---}
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia : \url{http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret}). Le trait court qui sert dans les césures, comme trait d'union ou pour séparer les intervalles (2000 - 2010 par exemple) et qui s'écrit \og - \fg (le signe moins de ton clavier numérique). Le tiret moyen (demi-cadratin) qui sert pour les énumérations, c'est également le signe moins des soustractions (5 -- 3 = 2) et qui s'écrit \mbox{ \og \verb!---!\fg} (deux signes moins de ton clavier numérique accolés). Enfin le tiret long (cadratin) utilisé pour introduire les dialogues, ou pour remplacer les parenthèses qui s'écrit \mbox{\og \verb!----!\fg} --- trois signes moins de ton clavier numérique accolés ---.
!!!La bizarrerie %blue%\,}}\index{espace!fine insécable} \index{espace!fine}
\index{,@ %blue%\,}}
Je ne sais pas si tu auras besoin de manipuler beaucoup de chiffres et d'unités dans ton document, mais moi dans mes rapports archéologiques, j'en consomme énormément. Pour cela comme pour le reste il existe des règles typographiques. En français les décimales sont délimitées par une virgule (c'est un point en anglais). Les milliers sont séparés par une espace fine insécable (une virgule en anglais, décidément ces anglais ne font rien comme tout le monde!). Les chiffres sont séparés des unités également par une espace fine insécable. L'espace fine est deux fois plus petite que l'espace de la \touche{barre d'espace} de ton clavier. Insécable signifie qu'elle ne peut être coupée en fin de ligne. Le nombre et les unités ne peuvent pas être sur deux lignes différentes. La commande %blue%\,} permet de créer une espace fine insécable.
\par
Dans la pratique je ne procède pas de cette façon pour écrire mes unités. J'utilise le package ''numprint} qui gère l'écriture des nombres. Les deux mesures de mon introduction peuvent s'écrire avec ''numprint} :
%blue%\np}{m}{500} et %blue%\np}{km}{1,5}, de cette façon je suis sûr que les normes typographiques françaises seront respectées.
\subPenchee{{$:michu} et les nombres}\label{babelNombre}
\index{nombre (écriture des)} \index{numprint@ %blue%\numprint}{}}
\index{unité (écriture des)}
Si tu dois écrire beaucoup de nombres, il est préférable d'utiliser le package %blue%numprint} ( %blue%\usepackage}{numprint}) qui associé à %blue%french} produira la bonne typographie.\\
\begin{tabular}{lcl}
\textbf{code} &&\textbf{résultat}\\
123456789&=&123456789\\
%blue%\numprint}{123456789}&=&\numprint{123456789}\\
%blue%\numprint}{3,14159265358979323846}&=&\numprint{3,14159265358979323846}\\
%blue%\numprint}{12.34}&=&\numprint{12.34}\\
\end{tabular}
\par
En plus tu peux préciser les unités de cette façon :\\ %blue%\numprint}{kg}{12,34} = \numprint[kg]{12,34}.
\par
Si tu veux utiliser le raccourci %blue%\np}{} au lieu de %blue%\numprint}{}, il te faut charger le package de cette façon : %blue%\usepackage}{np}{numprint}
!!!{$:michu} capitalise petit}\label{bsc}\index{petites capitales}
\index{fonte!petites capitales} \index{bsc@ %blue%\bsc}{}} \index{textesc@ %blue%\textesc}{}}
Une des règles en typographie française veut que le nom de famille soit écrit en \bsc{petites capitales}. C'est le rôle de la commande %blue%\bsc}{Le Nom}.
\alert{La commande %blue%\bsc}{} est une commande de l'option ''french} du package ''babel}. La commande {$:lat}est %blue%\textsc}{}. La différence entre les deux est que %blue%\bsc} empêche la coupure du mot en fin de ligne, conformément aux règles typographiques françaises gérant les noms propres.}
!!!{$:michu} emphatique}\index{emphase} \index{emph@ %blue%\emph}{}}
La commande %blue%\emph}{} permet de mettre une portion de texte en emphase. En typographie française mettre en relief un mot ou un groupe de mot se fait en utilisant l'italique dans un texte droit (police romaine) et en romain dans un texte en italique. C'est ce que fait %blue%\emph}{} :
Comme le faisait remarquer Bébert dans son %blue%\emph}{excellente étude} sur la bière %blue%\og} %blue%\textit}{Une bière %blue%\emph}{sans houblon}, ne vaut pas la peine d'être bue} %blue%\fg}}
\resultat{Comme le faisait remarquer Bébert dans son \emph{excellente étude} sur la bière \og \textit{Une bière \emph{sans houblon}, ne vaut pas la peine d'être bue}\fg}
Si tu veux insister lourdement tu peux mettre la portion de texte en gras avec la commande %blue%\textbf}{}.
Puisque que l'on est dans les changement de fonte voici un tableaux récapitulatif des commandes de changement de fonte :\par\bigskip\index{fonte!changer de}
\noindent
\begin{tabular}{|l|l|l|l|}\hline
Commande&Déclartion&Résultat&auto-complétion\\\hline
%blue%\textrm}{{$:dots}}&\vop %blue%\rmfamily} {$:dots}\vfp&\textrm{texte en roman}& \comp{rm}\\
%blue%\textsf}{{$:dots}}&\vop %blue%\sffamily} {$:dots}\vfp&\textsf{texte sans serif}& \comp{sf}\\
%blue%\texttt}{{$:dots}}&\vop %blue%\ttfamily} {$:dots}\vfp&\texttt{machine à écrire}& \comp{tt}\\\hline
%blue%\textup}{{$:dots}}&\vop %blue%\upshape} {$:dots}\vfp&\textup{écriture droite (défaut)}& \comp{up}\\
%blue%\textit}{{$:dots}}&\vop %blue%\itshape} {$:dots}\vfp&\textit{texte en italique}& \comp{it}\\
%blue%\textsl}{{$:dots}}&\vop %blue%\slshape} {$:dots}\vfp&\textsl{écriture penchée}& \comp{sl}\\
%blue%\textsc}{{$:dots}}&\vop %blue%\scshape} {$:dots}\vfp&\textsc{Petites Capitales}& \comp{sc}\\\hline
%blue%\textmd}{{$:dots}}&\vop %blue%\mdseries} {$:dots}\vfp&\textmd{médium (défaut)}& \comp{md}\\
%blue%\textbf}{{$:dots}}&\vop %blue%\bfseries} {$:dots}\vfp&\textbf{texte en gras}& \comp{bf}\\\hline
\end{tabular}
\index{petites capitales}\index{italique}\index{gras}\index{penchée (écriture)}
\index{roman} \index{sans serif} \index{machine à écrire}
\index{fonte!italique}\index{fonte!gras}\index{fonte!penchée}
\index{fonte!roman} \index{fonte!sans serif} \index{fonte!machine à écrire}
\index{fonte!médium}
\index{fonte!petites capitales} \index{bsc@ %blue%\bsc}{}}
\index{textesc@ %blue%\textesc}{}}
!!!{$:michu} change de paragraphe}
%blue%\par} permet de changer de paragraphe.\index{paragraphe!changer de}
\index{par@ %blue%\par}}
Avec %blue%\par}, il est temps d'aborder la gestion des espaces et des paragraphes sous \{$:lat}.
!!{$:michu} dans l'espace}\index{espace}\label{espace}
{$:lat}compose le texte en suivant des règles typographiques précises dépendantes de la langue utilisée. Concernant les espaces voici quelques unes de ces règles :\par
Les mots sont séparés par une espace et une seule. Donc tu peux toujours ajouter autant d'espace, de tabulation entre les mots, {$:lat}les ignore et n'en mettra qu'une seule. Pour illustrer le propos un extrait de \og Les misérables\fg de Victor \bsc{Hugo}.\par
L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, \hspace{5em} de Papelotte, \hspace{10em}de Plancenoit. Le cri trahison ! fut suivi du cri \hspace{5em}sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel. Tout fléchit, se fêle, \hspace{15em}craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, \hspace{15em} se précipite.}
\noindent donne après compilation
\resultat{\hspace{1em}L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit. Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel. Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite.}
En typographie française, les paragraphes\index{paragraphe}\index{paragraphe!changer de} sont uniquement marqué par un passage à la ligne avec une indentation (un retrait) de la première ligne. Il n'y a \emph{pas} de ligne blanche entre deux paragraphes.
Avec {$:lat}il y a deux manières de changer de paragraphe, ajouter une ligne blanche dans le source ou ajouter la commande %blue%\par}\index{par@ %blue%\par}}.
L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.
\par\medskip
Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un
dégel.\\
%blue%\par}\\
Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe. %blue%\par} Ney emprunte un cheval, saute dessus, et, sans chapeau, sans cravate, sans épée{$:dots}}
\resultat{\hspace{1em}L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.
\hspace{1em}Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel.
\par \hspace{1em}Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe.\par \hspace{1em}Ney emprunte un cheval, saute dessus, et, sans chapeau, sans cravate, sans épée,{$:dots}}
De la même façon que pour les espaces, plusieurs lignes seront ignorées par \{$:lat}.
L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.
\par\vspace{1cm}
Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel.
\par\medskip
%blue%\par}\par\medskip
Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe.}
\noindent donne après compilation
\resultat{\hspace{1em}L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.
\hspace{1em}Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel.
\hspace{1em}Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe.}
Des doubles {\color{blue}\tbs\tbs} permettent de passer à la ligne sans changer de paragraphe. Tu n'as donc pas de retrait de la première ligne.
L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.\fligne \\Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel. Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe.}
\resultat{\hspace{1em}L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.\\ Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel. Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe.}
\alert{Un retour de chariot (la touche \begin{tikzpicture}[line width=1pt,rounded corners=3pt,baseline=-10pt]
\draw (0,0) node[fill=gray!50, inner sep=3pt]{Entrée};
\end{tikzpicture} de ton clavier) ne provoque pas de passage à la ligne dans ton document final}
\newpage
L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.\\
Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un
dégel.\\
Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite.\\ Désagrégation inouïe.\\
Ney emprunte un cheval, saute dessus, et, sans chapeau, sans cravate, sans épée{$:dots}}
\resultat{L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.
Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel.
Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe.
Ney emprunte un cheval, saute dessus, et, sans chapeau, sans cravate, sans épée,{$:dots}}
Par contre dans TeXworks\ un retour de chariot provoque la numérotation d'une nouvelle ligne. Cette caractéristique peut te permettre d'aérer ton source sans modifier le résultat final. Compare les figures \ref{intro}, p. \pageref{intro} et \ref{intro2}, p. \pageref{intro2}. Ces deux sources produisent exactement le même résultat.
\begin{figure}[p]\centering
\includegraphics[width=0.7\textwidth]{introduction3.png}
\setcapwidth{\textwidth}
\caption{Les retours de chariot provoquent la numérotation d'une nouvelle ligne dans TeXworks sans pour autan fabriquer un saut de ligne dans le document final. Compare avec la figure \ref{intro} p. \pageref{intro}.}\label{intro2}
\end{figure}
%left bgcolor=#ff7a7a border='3px dotted red' define=alert%
%define=orange color=#ff7f00%
(:michu:M'^elle^' Michu:)
(:lat:LaTeX:)
(:dots:. . .:)
[[#methode]]
!{$:michu} veut une méthode de travail}
Je vais t'indiquer une méthode de travail. C'est celle que j'utilise pour la rédaction de tous mes rapports, mais bien entendu tu peux faire autrement. Dans ce tutoriel, nous allons étudier les éléments dans l'ordre, la page de titre puis l'introduction le premier chapitre{$:dots} les annexes. Mais dans la pratique je ne procède pas de cette manière. En général je me préoccupe du titre à la fin et il est rare que j'écrive tous les chapitres dans l'ordre. Ça c'est le gros avantage de {$:lat} sur les traitements de texte classiques, comme tu ne t'occupes pas de la mise en page, tu peux faire les choses dans l'ordre que tu veux {$:lat} se débrouillera tout seul pour recoller les morceaux correctement. Tu peux toujours rajouter des éléments même en début de texte sans avoir à te préoccuper du décalage que cela va occasionner sur les images, les tableaux,{$:dots} déjà insérés. Tu verras {$:lat} gère cela très bien.
[[#divise]]
!!{$:michu} divise pour mieux régner}
Quand j'écris un rapport je ne le fais pas dans un seul fichier, mais je crée autant de fichier que de chapitres ou de section. C'est plus facile pour s'y retrouver, surtout si le document est important. Tu peux diviser ton document comme tu l'entends, tu n'es pas obligé de respecter la division par section ou chapitre. Tu peux mettre plusieurs sections dans un fichier ou avoir plusieurs fichiers pour une section. Le but est de pouvoir accéder rapidement et facilement à n'importe quel partie de ton document. Tu organises ton travail comme tu veux. Pour ce tutoriel on va diviser le document de la façon suivante :
*'''monRapport.tex''' c'est le fichier maitre, qui contient le préambule et l'appel aux autres fichiers ;
*'''introduction.tex''' comme son nom l'indique, contient le texte d'introduction du document ;
*'''chapitre1.tex''' là aussi le nom est explicite. En général je ne l'intitule pas de cette manière mais avec un mot du titre, car c'est plus parlant et il se peut que ce chapitre ne reste pas toujours le premier ;
*'''{$:dots}''' la suite des fichiers par chapitre ou section ou partie de section ;
*'''conclusion.tex''' ce serait pas mal de mettre la conclusion dans ce fichier ;
*'''annexe1.tex''' une annexe, pour ce tutoriel il n'y en aura qu'une seule mais tu peux en créer plusieurs.
[[#fichier]]
!!{$:michu} appelle un fichier
La commande pour appeler un fichier est :
%blue%\input%red%{%%monFichier%red%}%%
Tu n'indiques pas l'extension .tex, le fichier appelé doit être dans le même répertoire que le fichier appelant. Il parait assez logique d'avoir préalablement créé un répertoire qui contiendra tous les documents nécessaires à la réalisation de ton rapport. Tu vas donc créer ton fichier maître ''monRapport.tex'', qui contient les lignes suivantes :
%blue%\documentclass%%[10pt,twoside]%red%{%%scrreprt%red%}%%
%blue%\usepackage%%[utf8]%red%{%%inputenc%red%}%%
%blue%\usepackage%%[T1]%red%{%%fontenc%red%}%%
%blue%\usepackage%red%{%%lmodern%red%}%%
%blue%\usepackage%%[frenchb]%red%{%%babel%red%}%%
%green%\begin{document}
%blue%\input%red%{%%introduction%red%}%%
%green%\end{document}
Attach:sauvegarde|Vue du fichier maître dans la fenêtre TeXworks. Remarque les effets de la coloration syntaxique.
Tu dois donc avoir dans ta fenêtre TeXworks quelque chose qui ressemble à la figure ci-dessus.
Il est temps de sauvegarder ton premier fichier, menu ''Fichier'' sous menu ''Sauvegarder''. Pour notre exemple tu vas l'appeler ''monRapport.tex''. Ce sera notre fichier maître.
[[#introduit]]
!!{$:michu} introduit}
Comme tu fais appel au fichier ''introduction.tex'', tu vas le créer. Un appel à un fichier qui n'existe pas va produire une erreur lors de la compilation. les touches Ctrl + N ouvre une nouvelle fenêtre TeXworks. Tu as remarqué on ne suit déjà plus l'ordre que j'avais indiqué, mais c'est pas grave on s'occupera du titre plus tard.
On va rentrer dans le vif du sujet, et tu vas te rendre compte que le travail avec {$:lat} est différent de celui fourni avec un traitement de texte classique. Avec {$:lat} tu dois juste indiquer par une commande que l'introduction est un chapitre et c'est tout. {$:lat} va ce charger tout seul de la numérotation, de la taille et de la graisse de la police. Ce n'est pas ton problème, toi tu t'occupes du texte de ton introduction.
[[#sectionne]]
!!{$:michu} sectionne
Le sectionnement est différent pour les classes livre et rapport d'une part (présence de chapitre) et article d'autre part (pas de chapitre). {$:lat} attribue un numéro de niveau à ces divisions, qui est utilisé dans certaines options comme la profondeur de la numérotation (voir section \ref{profondeurNum} p.\pageref{profondeurNum}). Les divisions sont automatiquement numérotées.
|| border=1
|| article (scrartcl)%%||||||livre (scrbook) et rapport (scrreprt)||||||
||nom ||niveau ||numérotation ||nom ||niveau ||numérotation ||
%blue%\part%% ||0 ||Première partie || %blue%\part%% ||-1 ||Première partie ||
%blue%\section%% ||1 ||1. || %blue%\chapter%% ||0 ||1. ||
%blue%\subsection%% ||2 ||1.1. || %blue%\section%% ||1 ||1.1. ||
%blue%\subsubsection%% ||3 ||1.1.1. || %blue%\subsection%% ||2 ||1.1.1. ||
%blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation || %blue%\subsubsection%% ||3 ||pas de numérotation ||
%blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation || %blue%\paragraph%% ||4 ||pas de numérotation ||
|| || || %blue%\subparagraph%% ||5 ||pas de numérotation ||
''Différentes divisions en fonction du type de document.''
%blue%\chapter}{Un chapitre}\\
%blue%\section}{Une section}\\
%blue%\subsection}{Une sous section}\\
%blue%\subsubsection}{Une sous sous section}\\
%blue%\paragraph}{Un paragraphe}\\
%blue%\subparagraph}{Un sous paragraphe}}
Attach:section.png
%orange%!!Taille des divisions%%
KOMA-Script possède 3 formats de taille de divisions différents que l'on modifie par l'option ''headings'' : ''headings=big'' (option par défaut), ''headings=normal'', ''headings=small''. Si tu veux une petite taille des titres voici comment faire :
%blue%\documentclass%%[10pt,twoside,headings=small]%red%{%%scrreprt%red%}%%
Attach:big.png
Attach:normal.png
Attach:small.png
''Les trois formats de taille de divisions de KOMA-Script, de gauche à droite\\ '''headings=big''', '''headings=normal''', '''headings=small'''.''
!!!Arguments optionnels des divisions
Toutes les divisions se présentent de la même façon :
%blue%\nomDivision%%[titre court]%red%{%%titre de la division%red%}%%
[titre court] permet d'indiquer un autre titre qui sera utilisé dans la table des matières ou les entêtes. Cela est très utile par exemple pour indiquer une forme raccourcie d'un titre long, qui déborde dans la table des matières ou dans l'entête.
Tu peux aussi forcer une division à s'écrire sur plusieurs lignes à l'aide de
%blue%\\%% (voir la section \ref{espace} page \pageref{espace} pour les commandes de saut de ligne:
%blue%\section%red{%%Un titre sur%blue%\\%%deux lignes%red%}%%
Mais cette méthode peut introduire des effets indésirables dans la table des matières ou les entêtes. Pour éviter ces problèmes il vaut mieux réécrire le titre sans %blue%\\%% dans l'argument optionnel :
%blue%\section[Un titre sur une ligne]%red%{%%Un titre sur%blue%\\%%deux lignes%red%}%%
Le titre optionnel sert également dans le cas où l'on désire mettre une note de bas de page dans un titre. L'apparition problématique de la note de bas de page dans le sommaire peut être évité par l'emploie du titre optionnel :
%blue%\section[Un titre sans note de bas de page]%red%{%%Un titre avec une note de bas de page %blue%\footnote%red%{%%La note%red%}}%%
%rem%Les commandes comme %blue%\section%% sont appelées des commandes mobiles car elle apparaissent plusieurs fois dans le document. La même section apparaitra dans le texte, dans la table des matières et dans l'entête. Les commandes comme %blue%\footnote%%, dite fragile, n'aime pas trop se retrouver dans des commandes mobiles. Donc pour éviter des problèmes de compilation il vaut mieux les protéger par la commande %blue%\protect%%%%
%blue%\section[Un titre sans note de bas de page]%red%{%%Un titre avec une note de bas de page %blue%\protect \footnote%red%{%%La note%red%}}%%
!!!Formes sans numérotation
Les commandes ''addpart'', ''addchap'' et ''addsec'' produisent des divisions sans numérotation qui apparaissent dans la table des matières et dans l'entête. On se sert de cette forme notamment pour l'introduction ou la conclusion qui ne sont généralement pas numérotées.
%blue%\addpart[version courte]%red%{%%titre%red%}%%
%blue%\addchap[version courte]%red%{%%titre%red%}%%
%blue%\addsec[version courte]%red%{%%titre%red%}%%
Il existe également une version étoilé qui ne produit d'entrée ni dans la table des matières ni dans l'entête.
%blue%\addpart*%red%{%%titre}
%blue%\addchap*%red%{%%titre}
%blue%\addsec*%red%{%%titre}
%alert%Ce sont des commandes KOMA-Script, qui n'existent pas dans les classes classiques (book, article, report).%%
%orange%!!Profondeur de la numérotation%%
%rem%Un petit rappel pour te signaler que la lecture des parties dont le titre est en orange n'est pas indispensable dans un premier temps.%%
Par défaut pour {$:lat} la numérotation des divisions se fait jusqu'à %blue%\subsection%% comprise, au-delà les divisions ne sont plus numérotées. Cela correspond au niveau 2 (voir le tableau \ref{tabProfondeur} p. \pageref{tabProfondeur}).
Cette profondeur de numérotation est contrôlée par le compteur %blue%secnumdepth%% dont la valeur par défaut est 2. Tu peux modifier sa valeur par la commande :
%blue%\setcounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%nombre%Red%}%%
Par exemple
%blue%\setcounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%4%Red%}%%
étendra la numérotation jusqu'au %blue%\paragraph%%.
Si tu veux que toutes les divisions de ton document soit numérotées, utilise une grande valeur comme 10
%blue%\setcounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%10%Red%}%%
Au contraire avec une profondeur de -2 aucune division ne sera numérotée. (%blue%\part la division la plus grande à la valeur -1). Dans ce cas tu n'es plus obligé d'utiliser les commandes KOMA-Script comme %blue%\addsec%red%{}%%.
Si tu ne connais pas le niveau de profondeur de ton document et que tu veuilles ajouter un niveau de numérotation supplémentaire, tu peux utiliser la commande
%blue%\addtocounter%red%{%%secnumdepth%red%}{}%%
Tu utilises
%blue%\addtocounter%red%{%%secnumdepth%red%}{%%12%Red%}%%
pour 2 niveaux supplémentaires et ainsi de suite.
Toutes ces commandes se placent avant le %green%\begin{document}%%.
%orange%!!{$:michu} confrontée aux compteurs%%
Il existe un certain nombre de compteurs prédéfinis dans {$:lat}, comme par exemple les compteurs de pages, de chapitres, de sections, de numéros de figures,{$:dots} Tu seras peut-être amenée à en modifier quelques uns pour adapter le comportement par défaut de {$:lat} à tes souhaits (voir la modification du numéro de page section \ref{numpage}, page \pageref{numpage}). Ce n'est pas difficile, il existe deux commandes,
%blue%\setcounter%red%{%%compteur%red%}{%%nouvelleValeur%Red%}%%
qui attribue au compteur la nouvelle valeur et
%blue%\addtocounter%red%{%%compteur%red%}{%%augmentation%Red%}%%
qui incrémente de ''augmentation'' le compteur (se nombre peut être négatif pour diminuer le compteur). Voici des exemples avec le compteur de sous-section. Le compteur des division de texte à le même nom que la division donc notre compteur s'appelle ''subsection}. Voici une première sous-section de la première section du chapitre 1, obtenue par le code suivant :
%blue%\section%red%{%%Première section%red%}%%
%blue%\subsection%red%{%%Première sous-section%red%}%%
Attach:
Pour la deuxième sous-section on va mettre le compteur à 6. Attention pour bien comprendre ce qui se passe , il faut savoir que la commande %blue%\subsection} ''incrémente de 1} le compteur ''puis affiche} le résultat. On attribue la valeur du compteur de subsection à 6, la commande %blue%\subsection} l'incrémente 6+1=7 et affiche le résultat :
%blue%\setcounter}{subsection}{6}\\
%blue%\subsection}{Deuxième sous-sous-section}}
\resultat{\setcounter{subsection}{6}
!!!Deuxième sous-section}}
On va incrémenter de 2 pour la troisième, donc notre compteur vaut 7+2=9 et la commande %blue%\subsection} l'incrémente 9+1=10 :
%blue%\addtocounter}{subsubsection}{2}\\
%blue%\subsection}{Troisième sous-section}}
\resultat{\addtocounter{subsection}{2}
!!!Troisième sous-section}}
Enfin on va diminuer le compteur pour la dernière le compteur vaut 10-4=6 et la commande %blue%\subsection} l'incrémente 6+1=7 :
%blue%\addtocounter}{subsection}{-4}\\
%blue%\subsection}{Dernière sous-section}}
\resultat{\addtocounter{subsection}{-4}
!!!Dernière sous-section}}
\setcounter{section}{5}\setcounter{chapter}{3}
!!Où {$:michu} continue d'introduire}
En général l'introduction est un chapitre non numéroté. On vient de le voir, KOMA-Script possède une commande pour faire cela %blue%\addchap}{Le titre}. Donc notre fichier ''introduction.tex} contient
%blue%\addchap}{Introduction}\\
La découverte d'un nouveau gisement moustérien dans cette région du Balafon Occidental est toujours un événement. Surtout quand cette découverte à lieu dans la vallée du Pételasoiffe, appelée par de nombreux auteur la %blue%\og}{} Vallée de l'Omo %blue%\fg}{} de l'Europe du Nord %blue%\footnote}{Rendons à César ce qui %blue%\dots} c'est au professeur Raoul %blue%\bsc}{Dumortier} que l'on doit la première mention de cette\\ expression.}. Le site d'Harfouëte -\,- La Mare au Diable, découvert en 2009, outre son insertion dans un contexte micro-régional riche, faisant déjà l'objet de très nombreuses recherches %blue%\footnote}{Une\\ synthèse sous la direction de Robert %blue%\bsc}{de Latour} devrait\\ paraître à la fin de l'année 2010.}, présente un grand intérêt \\intrinsèque. En effet la présence de %blue%\emph}{plusieurs foyers} et de %blue%\emph}{reste osseux} rendent ce site unique dans cette région.\\
%blue%\par}\\
Le gisement d'Harfouëte -\,- La Mare au Diable est situé à proximité de deux sites mondialement connu. En amont, à 500 %blue%\,}m à vol d'oiseau se trouve le site de %blue%\og}{} La roche Penchée %blue%\fg}{}, fouillé depuis les années 1887. À 1,5 %blue%\,}km en aval, se situe le gisement moustérien de %blue%\og}{}La Castellerie Rouge %blue%\fg}{}, étudié depuis près de vingt ans par l'équipe américaine du professeur A. L. %blue%\bsc}{Robinson}.
}
\begin{figure}[p]\centering
\includegraphics[width=0.7\textwidth]{introduction.png}
\setcapwidth{\textwidth}
\caption{L'introduction dans TeXworks. Tu remarques l'intérêt de la coloration syntaxique. Les commandes {$:lat}se détache nettement du texte. Les mots soulignés de rouge indique les mots mal orthographiés. Ici des noms propres inconnus du dictionnaire. Remarque également que pour TeXworks une ligne se termine par un \og retour de chariot\fg. pour ce dernier point voir la section \ref{espace} p. \pageref{espace}}\label{intro}
\end{figure}
Voici le fichier ''introduction.tex}. On a déjà vu dans les précédentes pages la signification de certaines commandes utilisées dans celle-ci.\\
%blue%\og} qui écrit le guillemet ouvrant \og, ''o} pour {\color{orange}o}uvrez et ''g} pour {\color{orange}g}uillemet ;\\
%blue%\fg} qui écrit le guillemet fermant \fg, ''f} pour {\color{orange}f}ermez et ''g} pour {\color{orange}g}uillemet ;\label{og}\label{fg}\\
%blue%\dots} pour écrire {$:dots} qui sont les véritables trois points typographiques, ce qui n'est pas pareil que {$:dots} trois points écrits au clavier.
\index{{$:dots}}\index{og@ %blue%\og}}\index{of@ %blue%\fg}}\index{dots@ %blue%\dots}}
Quatre nouvelles commandes sont apparues : %blue%\footnote}{}, %blue%\bsc}{}, %blue%\par}, %blue%\emph}{} et deux bizarreries -\,- et %blue%\,}.
!!!Première difficulté pour {$:michu} : les notes en bas de page}
\index{note en bas de page} \index{footnote@ %blue%\footnote}{}}
Avec {$:lat}ce n'est pas une difficulté. Il te suffit juste d'employer la commande %blue%\footnote}{Ici le texte de ta note de bas de page} que tu pla\-ces dans le texte à l'endroit ou te veux voir apparaître l'appelle de la note. {$:lat}s'occupera de l'attribution du numéro et de son placement.
!!!La bizarrerie -\,-}\index{tiret}\index{---}
En typographie française il existe 3 types de tirets (pour plus de détail, voir l'article sur wikipedia : \url{http://fr.wikipedia.org/wiki/Tiret}). Le trait court qui sert dans les césures, comme trait d'union ou pour séparer les intervalles (2000 - 2010 par exemple) et qui s'écrit \og - \fg (le signe moins de ton clavier numérique). Le tiret moyen (demi-cadratin) qui sert pour les énumérations, c'est également le signe moins des soustractions (5 -- 3 = 2) et qui s'écrit \mbox{ \og \verb!---!\fg} (deux signes moins de ton clavier numérique accolés). Enfin le tiret long (cadratin) utilisé pour introduire les dialogues, ou pour remplacer les parenthèses qui s'écrit \mbox{\og \verb!----!\fg} --- trois signes moins de ton clavier numérique accolés ---.
!!!La bizarrerie %blue%\,}}\index{espace!fine insécable} \index{espace!fine}
\index{,@ %blue%\,}}
Je ne sais pas si tu auras besoin de manipuler beaucoup de chiffres et d'unités dans ton document, mais moi dans mes rapports archéologiques, j'en consomme énormément. Pour cela comme pour le reste il existe des règles typographiques. En français les décimales sont délimitées par une virgule (c'est un point en anglais). Les milliers sont séparés par une espace fine insécable (une virgule en anglais, décidément ces anglais ne font rien comme tout le monde!). Les chiffres sont séparés des unités également par une espace fine insécable. L'espace fine est deux fois plus petite que l'espace de la \touche{barre d'espace} de ton clavier. Insécable signifie qu'elle ne peut être coupée en fin de ligne. Le nombre et les unités ne peuvent pas être sur deux lignes différentes. La commande %blue%\,} permet de créer une espace fine insécable.
\par
Dans la pratique je ne procède pas de cette façon pour écrire mes unités. J'utilise le package ''numprint} qui gère l'écriture des nombres. Les deux mesures de mon introduction peuvent s'écrire avec ''numprint} :
%blue%\np}{m}{500} et %blue%\np}{km}{1,5}, de cette façon je suis sûr que les normes typographiques françaises seront respectées.
\subPenchee{{$:michu} et les nombres}\label{babelNombre}
\index{nombre (écriture des)} \index{numprint@ %blue%\numprint}{}}
\index{unité (écriture des)}
Si tu dois écrire beaucoup de nombres, il est préférable d'utiliser le package %blue%numprint} ( %blue%\usepackage}{numprint}) qui associé à %blue%french} produira la bonne typographie.\\
\begin{tabular}{lcl}
\textbf{code} &&\textbf{résultat}\\
123456789&=&123456789\\
%blue%\numprint}{123456789}&=&\numprint{123456789}\\
%blue%\numprint}{3,14159265358979323846}&=&\numprint{3,14159265358979323846}\\
%blue%\numprint}{12.34}&=&\numprint{12.34}\\
\end{tabular}
\par
En plus tu peux préciser les unités de cette façon :\\ %blue%\numprint}{kg}{12,34} = \numprint[kg]{12,34}.
\par
Si tu veux utiliser le raccourci %blue%\np}{} au lieu de %blue%\numprint}{}, il te faut charger le package de cette façon : %blue%\usepackage}{np}{numprint}
!!!{$:michu} capitalise petit}\label{bsc}\index{petites capitales}
\index{fonte!petites capitales} \index{bsc@ %blue%\bsc}{}} \index{textesc@ %blue%\textesc}{}}
Une des règles en typographie française veut que le nom de famille soit écrit en \bsc{petites capitales}. C'est le rôle de la commande %blue%\bsc}{Le Nom}.
\alert{La commande %blue%\bsc}{} est une commande de l'option ''french} du package ''babel}. La commande {$:lat}est %blue%\textsc}{}. La différence entre les deux est que %blue%\bsc} empêche la coupure du mot en fin de ligne, conformément aux règles typographiques françaises gérant les noms propres.}
!!!{$:michu} emphatique}\index{emphase} \index{emph@ %blue%\emph}{}}
La commande %blue%\emph}{} permet de mettre une portion de texte en emphase. En typographie française mettre en relief un mot ou un groupe de mot se fait en utilisant l'italique dans un texte droit (police romaine) et en romain dans un texte en italique. C'est ce que fait %blue%\emph}{} :
Comme le faisait remarquer Bébert dans son %blue%\emph}{excellente étude} sur la bière %blue%\og} %blue%\textit}{Une bière %blue%\emph}{sans houblon}, ne vaut pas la peine d'être bue} %blue%\fg}}
\resultat{Comme le faisait remarquer Bébert dans son \emph{excellente étude} sur la bière \og \textit{Une bière \emph{sans houblon}, ne vaut pas la peine d'être bue}\fg}
Si tu veux insister lourdement tu peux mettre la portion de texte en gras avec la commande %blue%\textbf}{}.
Puisque que l'on est dans les changement de fonte voici un tableaux récapitulatif des commandes de changement de fonte :\par\bigskip\index{fonte!changer de}
\noindent
\begin{tabular}{|l|l|l|l|}\hline
Commande&Déclartion&Résultat&auto-complétion\\\hline
%blue%\textrm}{{$:dots}}&\vop %blue%\rmfamily} {$:dots}\vfp&\textrm{texte en roman}& \comp{rm}\\
%blue%\textsf}{{$:dots}}&\vop %blue%\sffamily} {$:dots}\vfp&\textsf{texte sans serif}& \comp{sf}\\
%blue%\texttt}{{$:dots}}&\vop %blue%\ttfamily} {$:dots}\vfp&\texttt{machine à écrire}& \comp{tt}\\\hline
%blue%\textup}{{$:dots}}&\vop %blue%\upshape} {$:dots}\vfp&\textup{écriture droite (défaut)}& \comp{up}\\
%blue%\textit}{{$:dots}}&\vop %blue%\itshape} {$:dots}\vfp&\textit{texte en italique}& \comp{it}\\
%blue%\textsl}{{$:dots}}&\vop %blue%\slshape} {$:dots}\vfp&\textsl{écriture penchée}& \comp{sl}\\
%blue%\textsc}{{$:dots}}&\vop %blue%\scshape} {$:dots}\vfp&\textsc{Petites Capitales}& \comp{sc}\\\hline
%blue%\textmd}{{$:dots}}&\vop %blue%\mdseries} {$:dots}\vfp&\textmd{médium (défaut)}& \comp{md}\\
%blue%\textbf}{{$:dots}}&\vop %blue%\bfseries} {$:dots}\vfp&\textbf{texte en gras}& \comp{bf}\\\hline
\end{tabular}
\index{petites capitales}\index{italique}\index{gras}\index{penchée (écriture)}
\index{roman} \index{sans serif} \index{machine à écrire}
\index{fonte!italique}\index{fonte!gras}\index{fonte!penchée}
\index{fonte!roman} \index{fonte!sans serif} \index{fonte!machine à écrire}
\index{fonte!médium}
\index{fonte!petites capitales} \index{bsc@ %blue%\bsc}{}}
\index{textesc@ %blue%\textesc}{}}
!!!{$:michu} change de paragraphe}
%blue%\par} permet de changer de paragraphe.\index{paragraphe!changer de}
\index{par@ %blue%\par}}
Avec %blue%\par}, il est temps d'aborder la gestion des espaces et des paragraphes sous \{$:lat}.
!!{$:michu} dans l'espace}\index{espace}\label{espace}
{$:lat}compose le texte en suivant des règles typographiques précises dépendantes de la langue utilisée. Concernant les espaces voici quelques unes de ces règles :\par
Les mots sont séparés par une espace et une seule. Donc tu peux toujours ajouter autant d'espace, de tabulation entre les mots, {$:lat}les ignore et n'en mettra qu'une seule. Pour illustrer le propos un extrait de \og Les misérables\fg de Victor \bsc{Hugo}.\par
L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, \hspace{5em} de Papelotte, \hspace{10em}de Plancenoit. Le cri trahison ! fut suivi du cri \hspace{5em}sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel. Tout fléchit, se fêle, \hspace{15em}craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, \hspace{15em} se précipite.}
\noindent donne après compilation
\resultat{\hspace{1em}L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit. Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel. Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite.}
En typographie française, les paragraphes\index{paragraphe}\index{paragraphe!changer de} sont uniquement marqué par un passage à la ligne avec une indentation (un retrait) de la première ligne. Il n'y a \emph{pas} de ligne blanche entre deux paragraphes.
Avec {$:lat}il y a deux manières de changer de paragraphe, ajouter une ligne blanche dans le source ou ajouter la commande %blue%\par}\index{par@ %blue%\par}}.
L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.
\par\medskip
Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un
dégel.\\
%blue%\par}\\
Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe. %blue%\par} Ney emprunte un cheval, saute dessus, et, sans chapeau, sans cravate, sans épée{$:dots}}
\resultat{\hspace{1em}L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.
\hspace{1em}Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel.
\par \hspace{1em}Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe.\par \hspace{1em}Ney emprunte un cheval, saute dessus, et, sans chapeau, sans cravate, sans épée,{$:dots}}
De la même façon que pour les espaces, plusieurs lignes seront ignorées par \{$:lat}.
L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.
\par\vspace{1cm}
Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel.
\par\medskip
%blue%\par}\par\medskip
Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe.}
\noindent donne après compilation
\resultat{\hspace{1em}L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.
\hspace{1em}Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel.
\hspace{1em}Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe.}
Des doubles {\color{blue}\tbs\tbs} permettent de passer à la ligne sans changer de paragraphe. Tu n'as donc pas de retrait de la première ligne.
L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.\fligne \\Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel. Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe.}
\resultat{\hspace{1em}L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.\\ Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel. Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe.}
\alert{Un retour de chariot (la touche \begin{tikzpicture}[line width=1pt,rounded corners=3pt,baseline=-10pt]
\draw (0,0) node[fill=gray!50, inner sep=3pt]{Entrée};
\end{tikzpicture} de ton clavier) ne provoque pas de passage à la ligne dans ton document final}
\newpage
L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.\\
Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un
dégel.\\
Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite.\\ Désagrégation inouïe.\\
Ney emprunte un cheval, saute dessus, et, sans chapeau, sans cravate, sans épée{$:dots}}
\resultat{L'armée plia brusquement de tous les côtés à la fois, de Hougomont, de la Haie-Sainte, de Papelotte, de Plancenoit.
Le cri trahison ! fut suivi du cri sauve-qui-peut ! Une armée qui se débande, c'est un dégel.
Tout fléchit, se fêle, craque, flotte, roule, tombe, se heurte, se hâte, se précipite. Désagrégation inouïe.
Ney emprunte un cheval, saute dessus, et, sans chapeau, sans cravate, sans épée,{$:dots}}
Par contre dans TeXworks\ un retour de chariot provoque la numérotation d'une nouvelle ligne. Cette caractéristique peut te permettre d'aérer ton source sans modifier le résultat final. Compare les figures \ref{intro}, p. \pageref{intro} et \ref{intro2}, p. \pageref{intro2}. Ces deux sources produisent exactement le même résultat.
\begin{figure}[p]\centering
\includegraphics[width=0.7\textwidth]{introduction3.png}
\setcapwidth{\textwidth}
\caption{Les retours de chariot provoquent la numérotation d'une nouvelle ligne dans TeXworks sans pour autan fabriquer un saut de ligne dans le document final. Compare avec la figure \ref{intro} p. \pageref{intro}.}\label{intro2}
\end{figure}